« L’apaisement des tensions entre Israël et ses voisins arabes, grâce aux accords d’Abraham, offre aux États-Unis une occasion stratégique pour rassembler des partenaires clés contre des menaces communes au Moyen-Orient », a justifié le Pentagone dans un communiqué. Sans être cité, l’Iran est ainsi visé.
Les accords dits d’Abraham portent sur une normalisation des relations entre des pays arabes et Israël.
Tour à tour les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc ont ainsi normalisé leurs relations avec l’État hébreu, sous l’égide des États-Unis, représentés par Jared Kushner, gendre et conseiller du président Donald Trump.
Les équilibres au Moyen-Orient étant ainsi redéfinis, le Pentagone a estimé que ses rapports militaires avec Israël pouvaient désormais être gérés par la branche moyen-orientale du Commandement central (Centcom) et non plus par la direction européenne du Centcom.
La diplomatie de Washington sous Donald Trump est parvenue à briser le consensus arabe selon lequel aucune entente n’est possible avec l’État hébreu sans résolution du conflit israélo-palestinien. Cette étape franchie permet à Washington de consolider son alliance avec les pays arabes sunnites contre l’Iran, ce pays étant vu comme la principale menace à la stabilité régionale.
Le Pentagone a par ailleurs annoncé vendredi que les effectifs militaires des États-Unis se montaient désormais à 2500 en Afghanistan ainsi qu’en Irak, conformément au vœu du président Trump de mettre fin aux « guerres sans fin ». (AFP)
Les accords dits d’Abraham portent sur une normalisation des relations entre des pays arabes et Israël.
Tour à tour les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc ont ainsi normalisé leurs relations avec l’État hébreu, sous l’égide des États-Unis, représentés par Jared Kushner, gendre et conseiller du président Donald Trump.
Les équilibres au Moyen-Orient étant ainsi redéfinis, le Pentagone a estimé que ses rapports militaires avec Israël pouvaient désormais être gérés par la branche moyen-orientale du Commandement central (Centcom) et non plus par la direction européenne du Centcom.
La diplomatie de Washington sous Donald Trump est parvenue à briser le consensus arabe selon lequel aucune entente n’est possible avec l’État hébreu sans résolution du conflit israélo-palestinien. Cette étape franchie permet à Washington de consolider son alliance avec les pays arabes sunnites contre l’Iran, ce pays étant vu comme la principale menace à la stabilité régionale.
Le Pentagone a par ailleurs annoncé vendredi que les effectifs militaires des États-Unis se montaient désormais à 2500 en Afghanistan ainsi qu’en Irak, conformément au vœu du président Trump de mettre fin aux « guerres sans fin ». (AFP)