New York (awp/afp) - Le dollar évoluait en léger recul face à l'euro lundi, peinant à se remettre des chiffres sur l'emploi américain publiés vendredi, alors que la livre britannique a chuté avec la démission du ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1748 dollar, contre 1,1746 dollar vendredi vers 21H00 GMT.
La devise européenne progressait face à la monnaie nipponne à 130,21 yens, contre 129,77 yens la veille.
Le dollar remontait face à la devise japonaise à 110,84 yens, contre 110,47 yens vendredi soir.
Malgré un léger mieux en deuxième partie de séance lundi, le dollar peinait toujours à interrompre son mouvement baissier après le rapport sur l'emploi américain de vendredi, a relevé Konstantinos Anthis, analyste pour ADS Securities.
Ce rapport a dépassé les attentes en matière de création d'emplois mais la croissance des salaires, à 0,2% sur un mois contre 0,3% attendu a affiché un niveau timide.
La croissance des salaires, facteur d'inflation, est l'un des indicateurs sur lesquels se penche la Réserve fédérale américaine (Fed) pour établir sa politique monétaire.
"Dans ce contexte, les craintes d'un resserrement monétaire plus agressif de la part de la Fed se sont atténuées", ont souligné les analystes de Sucden.
Une hausse des taux a pour effet de rendre le dollar plus rémunérateur et donc plus attractif pour les cambistes.
Du côté de l'euro, les investisseurs ont suivi l'intervention du président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, devant le Parlement européen. Celui-ci a notamment rappelé la nécessité d'être "patient, persévérant et prudent" concernant la normalisation de la politique monétaire.
Plus tôt dans la journée, les chiffres du commerce extérieur allemand ont fait état d'un excédent commercial de 20,3 milliards d'euros pour mai, en hausse par rapport à avril.
"Jusqu'à maintenant, l'impact des variations du taux de change de l'euro (qui s'est affaibli face à plusieurs devises ces dernières semaines, ndlr) a été, et devrait rester plus important pour les exportations allemandes que n'importe quelle tension commerciale", a commenté Carsten Brzeski, analyste pour ING, alors que de nouveaux droits de douane américains, portant sur 34 milliards de dollars d'importations chinoises, sont entrés en vigueur vendredi.
Enfin, la livre britannique, de son côté, a brutalement chuté face à l'euro et au dollar après l'annonce de la démission du ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, alors qu'elle avait entamé la journée en hausse, aidée par le départ du ministre du Brexit, David Davis.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.259,17 dollars, contre 1.255,20 dollars vendredi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise a terminé à 6,6160 yuans pour un dollar à 15H30 GMT contre 6,6427 yuans vendredi.
Le bitcoin valait 6.699,86 dollars, contre 6.570,76 dollars vendredi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1748 dollar, contre 1,1746 dollar vendredi vers 21H00 GMT.
La devise européenne progressait face à la monnaie nipponne à 130,21 yens, contre 129,77 yens la veille.
Le dollar remontait face à la devise japonaise à 110,84 yens, contre 110,47 yens vendredi soir.
Malgré un léger mieux en deuxième partie de séance lundi, le dollar peinait toujours à interrompre son mouvement baissier après le rapport sur l'emploi américain de vendredi, a relevé Konstantinos Anthis, analyste pour ADS Securities.
Ce rapport a dépassé les attentes en matière de création d'emplois mais la croissance des salaires, à 0,2% sur un mois contre 0,3% attendu a affiché un niveau timide.
La croissance des salaires, facteur d'inflation, est l'un des indicateurs sur lesquels se penche la Réserve fédérale américaine (Fed) pour établir sa politique monétaire.
"Dans ce contexte, les craintes d'un resserrement monétaire plus agressif de la part de la Fed se sont atténuées", ont souligné les analystes de Sucden.
Une hausse des taux a pour effet de rendre le dollar plus rémunérateur et donc plus attractif pour les cambistes.
Du côté de l'euro, les investisseurs ont suivi l'intervention du président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, devant le Parlement européen. Celui-ci a notamment rappelé la nécessité d'être "patient, persévérant et prudent" concernant la normalisation de la politique monétaire.
Plus tôt dans la journée, les chiffres du commerce extérieur allemand ont fait état d'un excédent commercial de 20,3 milliards d'euros pour mai, en hausse par rapport à avril.
"Jusqu'à maintenant, l'impact des variations du taux de change de l'euro (qui s'est affaibli face à plusieurs devises ces dernières semaines, ndlr) a été, et devrait rester plus important pour les exportations allemandes que n'importe quelle tension commerciale", a commenté Carsten Brzeski, analyste pour ING, alors que de nouveaux droits de douane américains, portant sur 34 milliards de dollars d'importations chinoises, sont entrés en vigueur vendredi.
Enfin, la livre britannique, de son côté, a brutalement chuté face à l'euro et au dollar après l'annonce de la démission du ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, alors qu'elle avait entamé la journée en hausse, aidée par le départ du ministre du Brexit, David Davis.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.259,17 dollars, contre 1.255,20 dollars vendredi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise a terminé à 6,6160 yuans pour un dollar à 15H30 GMT contre 6,6427 yuans vendredi.
Le bitcoin valait 6.699,86 dollars, contre 6.570,76 dollars vendredi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.