PANAMA (Reuters) - Le pape François s'en est pris vendredi à la stigmatisation "insensée et irresponsable" des migrants et a rejeté leur présentation comme une "menace pour la société".
Le chef de l'Eglise catholique s'exprimait lors d'une messe en présence de centaines de milliers de jeunes gens, un des temps forts des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) au Panama auxquelles il participe.
"Nous voulons être une Eglise qui défend une culture qui accueille, qui protège, qui encourage et qui intègre; une culture qui ne stigmatise pas, qui ne se laisse pas aller à une condamnation insensée et irresponsable de chaque migrant comme une menace pour la société", a-t-il dit.
Le pape argentin, qui a fait de la question des migrants l'un des thèmes centraux de son pontificat, a appelé à accueillir et à prendre en charge "tous ceux qui sont abandonnés et contraints de quitter, ou de perdre leur terre, leurs racines, leurs familles et leur travail".
Il avait déjà abordé ce thème à bord de l'avion l'emmenant au Panama. "La peur nous rend fous", avait-il dit en réponse à une question sur le projet de Donald Trump d'ériger un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.
Le chef de l'Eglise catholique s'exprimait lors d'une messe en présence de centaines de milliers de jeunes gens, un des temps forts des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) au Panama auxquelles il participe.
"Nous voulons être une Eglise qui défend une culture qui accueille, qui protège, qui encourage et qui intègre; une culture qui ne stigmatise pas, qui ne se laisse pas aller à une condamnation insensée et irresponsable de chaque migrant comme une menace pour la société", a-t-il dit.
Le pape argentin, qui a fait de la question des migrants l'un des thèmes centraux de son pontificat, a appelé à accueillir et à prendre en charge "tous ceux qui sont abandonnés et contraints de quitter, ou de perdre leur terre, leurs racines, leurs familles et leur travail".
Il avait déjà abordé ce thème à bord de l'avion l'emmenant au Panama. "La peur nous rend fous", avait-il dit en réponse à une question sur le projet de Donald Trump d'ériger un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique.