Paris - Les cours du pétrole continuaient de monter légèrement lundi en cours d'échanges européens, mais restaient à des niveaux bien inférieurs à ceux de fin 2017.
Vers 15H00 GMT (16H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, valait 53,60 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 39 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour février gagnait 15 cents à 45,48 dollars une heure après son ouverture.
Sur l'année, les cours ont dégringolé respectivement de 19% et 25%.
Et "les cours du pétrole continuent d'afficher des influences baissières alors que des incertitudes économiques menacent les perspectives du marché pour 2019", a fait valoir Benjamin Lu, analyste pour Phillip Futures.
Concernant les tensions commerciales, le marché de l'or noir pourrait cependant avoir bénéficié lundi du fait que le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping ont réitéré samedi, lors d'un échange téléphonique, leur volonté de négocier une solution aux contentieux commerciaux, près d'un mois après s'être mis d'accord sur une trêve.
La guerre commerciale que se livrent les deux pays a alimenté les craintes d'un ralentissement de la croissance mondiale en 2019 et donc de la demande de pétrole, ce qui a contribué à la chute des cours de ces derniers mois.
Depuis début octobre et des prix au plus haut depuis quatre ans, le baril de Brent a perdu plus de 35% et le WTI 40%. (AFP)
Vers 15H00 GMT (16H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, valait 53,60 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 39 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour février gagnait 15 cents à 45,48 dollars une heure après son ouverture.
Sur l'année, les cours ont dégringolé respectivement de 19% et 25%.
Et "les cours du pétrole continuent d'afficher des influences baissières alors que des incertitudes économiques menacent les perspectives du marché pour 2019", a fait valoir Benjamin Lu, analyste pour Phillip Futures.
Concernant les tensions commerciales, le marché de l'or noir pourrait cependant avoir bénéficié lundi du fait que le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping ont réitéré samedi, lors d'un échange téléphonique, leur volonté de négocier une solution aux contentieux commerciaux, près d'un mois après s'être mis d'accord sur une trêve.
La guerre commerciale que se livrent les deux pays a alimenté les craintes d'un ralentissement de la croissance mondiale en 2019 et donc de la demande de pétrole, ce qui a contribué à la chute des cours de ces derniers mois.
Depuis début octobre et des prix au plus haut depuis quatre ans, le baril de Brent a perdu plus de 35% et le WTI 40%. (AFP)