Londres (awp/afp) - Les prix du pétrole divergeaient lundi en cours d'échanges européens, le Brent européen reculant sur des prises de bénéfices alors que le WTI américain remonte, les marchés revoyant en légère baisse les conséquences des tempêtes américaines.
Vers 10H35 GMT (12H35 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 53,51 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 27 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'octobre gagnait 27 cents à 47,75 dollars.
"Le marché semble décidément peiner à faire la part des choses, entre une production en dents de scie au Nigeria et en Libye, une évolution tout aussi incertaine de la production américaine, et les craintes que l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) ne se tienne pas à son accord", ont résumé les analystes de RBC Capital Markets.
"Le Brent a reculé, nous pensons que les investissements spéculatifs qui ont poussé le baril à son plus haut en près de cinq mois vendredi sont en surchauffe", ont estimé les analystes de Commerzbank.
La référence européenne avait notamment profité de la faiblesse du dollar, qui se stabilisait lundi.
Comme le dollar sert de référence aux prix du pétrole, sa force pénalise les investisseurs utilisant d'autres monnaies pour acheter des barils.
Du côté des Etats-Unis, "nous estimons que Irma aura plus d'effet sur la demande que sur la production, qu'il s'agisse de celle de brut ou d'essence", ont jugé les analystes de Goldman Sachs.
L'ouragan Irma continuait lundi à frapper la Floride. Cette gigantesque dépression de la taille du Texas a été rétrogradée dans la catégorie 1 après avoir touché terre sur la côte ouest de la Floride, avec des vents de 135 km/h.
Selon les analystes de Goldman Sachs, la zone touchée possède peu d'infrastructures pétrolières.
"Irma est un ouragan plus puissant qu'Harvey, et les destructions risquent dans l'ensemble d'être plus importantes, mais le Texas (qui a été frappé par la tempête Harvey, ndlr) consomme deux fois plus de brut que la Floride par habitant", ont-ils ajouté.
Vers 10H35 GMT (12H35 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 53,51 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 27 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'octobre gagnait 27 cents à 47,75 dollars.
"Le marché semble décidément peiner à faire la part des choses, entre une production en dents de scie au Nigeria et en Libye, une évolution tout aussi incertaine de la production américaine, et les craintes que l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) ne se tienne pas à son accord", ont résumé les analystes de RBC Capital Markets.
"Le Brent a reculé, nous pensons que les investissements spéculatifs qui ont poussé le baril à son plus haut en près de cinq mois vendredi sont en surchauffe", ont estimé les analystes de Commerzbank.
La référence européenne avait notamment profité de la faiblesse du dollar, qui se stabilisait lundi.
Comme le dollar sert de référence aux prix du pétrole, sa force pénalise les investisseurs utilisant d'autres monnaies pour acheter des barils.
Du côté des Etats-Unis, "nous estimons que Irma aura plus d'effet sur la demande que sur la production, qu'il s'agisse de celle de brut ou d'essence", ont jugé les analystes de Goldman Sachs.
L'ouragan Irma continuait lundi à frapper la Floride. Cette gigantesque dépression de la taille du Texas a été rétrogradée dans la catégorie 1 après avoir touché terre sur la côte ouest de la Floride, avec des vents de 135 km/h.
Selon les analystes de Goldman Sachs, la zone touchée possède peu d'infrastructures pétrolières.
"Irma est un ouragan plus puissant qu'Harvey, et les destructions risquent dans l'ensemble d'être plus importantes, mais le Texas (qui a été frappé par la tempête Harvey, ndlr) consomme deux fois plus de brut que la Floride par habitant", ont-ils ajouté.