Londres (awp/afp) - Les cours du pétrole remontaient mardi en fin d'échanges européens dans un marché hésitant, les analystes attendant les données hebdomadaires sur les stocks américains pour en savoir plus sur l'état du marché mondial.
Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 51,82 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 16 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre, dont c'est le dernier jour de cotation, prenait 16 cents à 47,53 dollars.
"L'indécision mine le marché du pétrole, qui continue de basculer entre hausse et baisse. L'espoir de voir réserves américaines de brut reculer semble s'être atténué", ont estimé les analystes de PVM.
Pour la semaine achevée le 18 août, les réserves de brut pourraient tout de même avoir reculé de 3,5 millions de barils, celles d'essence d'1,25 million de barils et les réserves de produits distillés pourraient rester stables, selon la médiane d'un consensus d'analystes compilé par l'agence Bloomberg et actualisé en fin de séance européenne.
"Cela fait un moment que les nouvelles contradictoires règnent sur le marché. L'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) fait preuve d'optimisme quant à son accord de limitation de la production, mais les prix ont trébuché car le niveau de respect des objectifs de production n'a pas été respecté en juillet", a souligné Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
L'Opep, qui s'est engagé avec d'autres producteurs, dont la Russie, à limiter sa production jusqu'à la fin du premier trimestre 2018, a conclu lundi une réunion mensuelle de suivi de l'accord sans nouvelle forte.
Après un rebond des prix fin 2016, quand l'accord avait été annoncé, les marchés se demandent désormais si les promesses des producteurs seront appliquées jusqu'au bout et si elles suffiront à compenser la hausse de la production des autres pays pétroliers.
"En ce moment, l'impression des investisseurs est plutôt que les prix pourraient baisser, surtout si l'accord de l'Opep flanche", a prévenu Lukman Otunuga. (AFP)
Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 51,82 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 16 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de septembre, dont c'est le dernier jour de cotation, prenait 16 cents à 47,53 dollars.
"L'indécision mine le marché du pétrole, qui continue de basculer entre hausse et baisse. L'espoir de voir réserves américaines de brut reculer semble s'être atténué", ont estimé les analystes de PVM.
Pour la semaine achevée le 18 août, les réserves de brut pourraient tout de même avoir reculé de 3,5 millions de barils, celles d'essence d'1,25 million de barils et les réserves de produits distillés pourraient rester stables, selon la médiane d'un consensus d'analystes compilé par l'agence Bloomberg et actualisé en fin de séance européenne.
"Cela fait un moment que les nouvelles contradictoires règnent sur le marché. L'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) fait preuve d'optimisme quant à son accord de limitation de la production, mais les prix ont trébuché car le niveau de respect des objectifs de production n'a pas été respecté en juillet", a souligné Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
L'Opep, qui s'est engagé avec d'autres producteurs, dont la Russie, à limiter sa production jusqu'à la fin du premier trimestre 2018, a conclu lundi une réunion mensuelle de suivi de l'accord sans nouvelle forte.
Après un rebond des prix fin 2016, quand l'accord avait été annoncé, les marchés se demandent désormais si les promesses des producteurs seront appliquées jusqu'au bout et si elles suffiront à compenser la hausse de la production des autres pays pétroliers.
"En ce moment, l'impression des investisseurs est plutôt que les prix pourraient baisser, surtout si l'accord de l'Opep flanche", a prévenu Lukman Otunuga. (AFP)