New York (awp/afp) - Les cours du pétrole ont légèrement grimpé jeudi alors que l'Agence internationale de l'Energie (AIE) a revu à la hausse ses prévisions de demande mondiale de brut.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a progressé de 23 cents pour terminer à 65,12 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'avril a pris 23 cents et clôturé à 61,19 dollars.
Selon le dernier rapport mensuel de l'AIE, la demande mondiale de pétrole devrait atteindre cette année 99,3 millions de baril, soit 1,5 million de plus qu'initialement anticipé. Un signal positif pour les ventes d'or noir dans les prochains mois.
Toutefois, si "la hausse des prévisions de la demande pourrait profiter aux prix sur le court terme", "l'essor de la production américaine de pétrole de schiste continue d'empêcher les prix de bondir", a prévenu Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
"Les cours du WTI restent coincés depuis plusieurs semaines autour des 60 dollars, ce marché ne va nulle part", a abondé Kyle Cooper d'AIF Advisors. "Entre l'abondante production américaine, de nature à peser sur les prix, la solide demande, de nature à les faire monter, et l'Opep qui respecte ses engagements, rien ne bouge vraiment", a-t-il justifié.
La production américaine a en effet atteint un nouveau record la semaine dernière, au niveau moyen de 10,38 millions de barils par jour, selon le rapport hebdomadaire de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) publié mercredi.
De quoi contrecarrer les efforts des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses partenaires, qui se sont engagés à limiter leur production pour rééquilibrer le marché et faire monter les prix.
L'AIE a à cet égard revu en légère hausse ses prévisions de production de l'Opep, à 32,4 millions de barils par jour. Mais le cartel avait lui-même la veille dans son propre rapport mensuel revu en légère baisse ses anticipations à 32,6 millions de barils.
"Les prévisions des deux agences commencent à converger", a observé Olivier Jakob, analyste chez Petromatrix, ce qui permet au marché de se reposer sur des prévisions plus consensuelles.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a progressé de 23 cents pour terminer à 65,12 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'avril a pris 23 cents et clôturé à 61,19 dollars.
Selon le dernier rapport mensuel de l'AIE, la demande mondiale de pétrole devrait atteindre cette année 99,3 millions de baril, soit 1,5 million de plus qu'initialement anticipé. Un signal positif pour les ventes d'or noir dans les prochains mois.
Toutefois, si "la hausse des prévisions de la demande pourrait profiter aux prix sur le court terme", "l'essor de la production américaine de pétrole de schiste continue d'empêcher les prix de bondir", a prévenu Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
"Les cours du WTI restent coincés depuis plusieurs semaines autour des 60 dollars, ce marché ne va nulle part", a abondé Kyle Cooper d'AIF Advisors. "Entre l'abondante production américaine, de nature à peser sur les prix, la solide demande, de nature à les faire monter, et l'Opep qui respecte ses engagements, rien ne bouge vraiment", a-t-il justifié.
La production américaine a en effet atteint un nouveau record la semaine dernière, au niveau moyen de 10,38 millions de barils par jour, selon le rapport hebdomadaire de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) publié mercredi.
De quoi contrecarrer les efforts des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et de ses partenaires, qui se sont engagés à limiter leur production pour rééquilibrer le marché et faire monter les prix.
L'AIE a à cet égard revu en légère hausse ses prévisions de production de l'Opep, à 32,4 millions de barils par jour. Mais le cartel avait lui-même la veille dans son propre rapport mensuel revu en légère baisse ses anticipations à 32,6 millions de barils.
"Les prévisions des deux agences commencent à converger", a observé Olivier Jakob, analyste chez Petromatrix, ce qui permet au marché de se reposer sur des prévisions plus consensuelles.