Le Hezbollah libanais a estimé que le plan de règlement du conflit israélo-palestinien dévoilé mardi par le président américain Donald Trump était une « tentative d’éliminer les droits du peuple palestinien, historiques et légitimes ».
Ce « marché de la honte », comme l’appelle le Hezbollah, « n’aurait pas pu se faire sans la complicité et la trahison d’un certain nombre de régimes arabes, partenaires en secret ou au grand jour de ce complot », a asséné le puissant mouvement pro-iranien dans un communiqué.
En dévoilant son plan à Washington, Trump a salué la présence des ambassadeurs d’Oman, des Emirats arabes unis et de Bahreïn à sa conférence de presse.
Le plan américain est « un pas très dangereux qui aura de graves répercussions sur l’avenir de la région et ses peuples », a encore jugé le Hezbollah.
D’après l’initiative, les réfugiés palestiniens n’auront pas droit au retour, a annoncé lors de la conférence de presse le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le Hezbollah a affirmé y voir « un des dangers les plus flagrants » et dénoncé cette volonté « d’éliminer le droit du retour » et de « priver le peuple palestinien de son droit à sa terre ».
Cette mesure a aussi pour but d’entraîner dans les pays d’accueil « des tensions sociales et démographiques (...) qui ne servent que les intérêts de l’ennemi et ses objectifs expansionnistes », a jugé le Hezbollah, alors que le Liban compte de nombreux réfugiés palestiniens.
« Ce qui s’est passé aujourd’hui à Washington prouve que le choix de la "Résistance" est le seul choix pour libérer la terre », a-t-il conclu.
Le Hezbollah utilise généralement le terme de « Résistance » pour désigner le mouvement et ses alliés, Iran et Syrie en tête, dans leur lutte contre Israël et la présence militaire des Etats-Unis dans la région.
Ce « marché de la honte », comme l’appelle le Hezbollah, « n’aurait pas pu se faire sans la complicité et la trahison d’un certain nombre de régimes arabes, partenaires en secret ou au grand jour de ce complot », a asséné le puissant mouvement pro-iranien dans un communiqué.
En dévoilant son plan à Washington, Trump a salué la présence des ambassadeurs d’Oman, des Emirats arabes unis et de Bahreïn à sa conférence de presse.
Le plan américain est « un pas très dangereux qui aura de graves répercussions sur l’avenir de la région et ses peuples », a encore jugé le Hezbollah.
D’après l’initiative, les réfugiés palestiniens n’auront pas droit au retour, a annoncé lors de la conférence de presse le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le Hezbollah a affirmé y voir « un des dangers les plus flagrants » et dénoncé cette volonté « d’éliminer le droit du retour » et de « priver le peuple palestinien de son droit à sa terre ».
Cette mesure a aussi pour but d’entraîner dans les pays d’accueil « des tensions sociales et démographiques (...) qui ne servent que les intérêts de l’ennemi et ses objectifs expansionnistes », a jugé le Hezbollah, alors que le Liban compte de nombreux réfugiés palestiniens.
« Ce qui s’est passé aujourd’hui à Washington prouve que le choix de la "Résistance" est le seul choix pour libérer la terre », a-t-il conclu.
Le Hezbollah utilise généralement le terme de « Résistance » pour désigner le mouvement et ses alliés, Iran et Syrie en tête, dans leur lutte contre Israël et la présence militaire des Etats-Unis dans la région.