Un militant de l'opposition poignardé, des dizaines arrêtés, intimidés: la campagne émaillée d'incidents pour des législatives partielles et locales au Zimbabwe, aux enjeux limités, fait craindre le retour du vieux démon des violences électorales avant la présidentielle prévue l'an prochain.
Au cours des deux derniers mois de campagne, la Coalition des citoyens pour le changement (CCC), principal parti d'opposition, a attiré des foules vêtues de jaune lors de meetings. Placés sous fort contrôle policier, plusieurs de ces rassemblements ont été interdits par le pouvoir. Mais malgré la répression, le parti de l'opposant Nelson Chamisa est sorti renforcé du scrutin le week-end dernier. La CCC ne pouvait pas renverser la majorité au cours de ces élections partielles, mais elle a remporté 19 sièges supplémentaires au Parlement. (VOA)
Au cours des deux derniers mois de campagne, la Coalition des citoyens pour le changement (CCC), principal parti d'opposition, a attiré des foules vêtues de jaune lors de meetings. Placés sous fort contrôle policier, plusieurs de ces rassemblements ont été interdits par le pouvoir. Mais malgré la répression, le parti de l'opposant Nelson Chamisa est sorti renforcé du scrutin le week-end dernier. La CCC ne pouvait pas renverser la majorité au cours de ces élections partielles, mais elle a remporté 19 sièges supplémentaires au Parlement. (VOA)