LUANDA (Reuters) - Le président angolais João Lourenço a limogé lundi le chef d'état-major des forces armées et le chef des services de renseignement extérieurs, sa dernière décision en date contre des responsables soupçonnés de corruption ou de liens avec son prédécesseur José Eduardo dos Santos.
João Lourenço a succédé à Dos Santos en septembre dernier. Il a promis de mettre fin à une culture de corruption selon lui endémique et à mener des réformes économiques en Angola, deuxième producteur pétrolier d'Afrique pourtant frappé par une pauvreté importante.
Le général Geraldo Sachipengo Nunda, qui dirigeait les forces armées, a été désigné comme suspect le mois dernier par le parquet angolais dans une affaire de corruption.
André de Oliveira Sango, un fidèle de Dos Santos, dirigeait les services d'espionnage depuis une décennie.
José Filomeno dos Santos, fils de l'ex-président angolais, a été inculpé le mois dernier de fraude en lien avec une transaction de 500 millions de dollars (400 millions d'euros) effectuée à partir d'un compte appartenant à la banque centrale.
La fille de l'ancien président, Isabel, avait été chassée dès le mois de novembre dernier de la direction de la compagnie pétrolière Sonangol.
João Lourenço a succédé à Dos Santos en septembre dernier. Il a promis de mettre fin à une culture de corruption selon lui endémique et à mener des réformes économiques en Angola, deuxième producteur pétrolier d'Afrique pourtant frappé par une pauvreté importante.
Le général Geraldo Sachipengo Nunda, qui dirigeait les forces armées, a été désigné comme suspect le mois dernier par le parquet angolais dans une affaire de corruption.
André de Oliveira Sango, un fidèle de Dos Santos, dirigeait les services d'espionnage depuis une décennie.
José Filomeno dos Santos, fils de l'ex-président angolais, a été inculpé le mois dernier de fraude en lien avec une transaction de 500 millions de dollars (400 millions d'euros) effectuée à partir d'un compte appartenant à la banque centrale.
La fille de l'ancien président, Isabel, avait été chassée dès le mois de novembre dernier de la direction de la compagnie pétrolière Sonangol.