En Centrafrique, de plus en plus de femmes sont victimes de violences sexuelles, selon le gouvernement et le Comité international de la Croix Rouge (CICR) qui s'alarme de l'ampleur du phénomène. Beaucoup de ces femmes souffrent par ailleurs de stigmatisation et sont rejetées par leur communauté. Elles doivent aussi faire face à de lourdes séquelles physiques et psychologiques.
Dans ce contexte, les ONG travaillent pour changer cette situation et redonner espoir à ces femmes. C'est le cas de Rolande qui, depuis son viol, bénéficie de l’aide d’une ONG et aussi du soutien moral de son mari. Rolande a été violée par des hommes armés.
"Les hommes armés sont arrivés dans notre village. Ils ont d'abord exercé des violences, des coups et blessures. J'en ai moi aussi fait les frais. Ils ont pris tout ce qui est sur nous. Ils n'ont pas de respect pour la femme. Ils veulent même fouiller dans la culotte. Et c'est ainsi qu'ils m'ont violé", se souvient Rolande.
Depuis ce drame, elle peut cependant compter sur le soutien de son mari qui ne l’a pas abandonnée et continue de la soutenir. Mais le soutien moral de son mari à lui seul ne suffit pas. Rolande bénéficie d’une aide psychologique grâce au centre d’écoute mis en place par la Fondation Denis Mukwegue qui accompagne les victimes de violences sexuelles. (DW)
Dans ce contexte, les ONG travaillent pour changer cette situation et redonner espoir à ces femmes. C'est le cas de Rolande qui, depuis son viol, bénéficie de l’aide d’une ONG et aussi du soutien moral de son mari. Rolande a été violée par des hommes armés.
"Les hommes armés sont arrivés dans notre village. Ils ont d'abord exercé des violences, des coups et blessures. J'en ai moi aussi fait les frais. Ils ont pris tout ce qui est sur nous. Ils n'ont pas de respect pour la femme. Ils veulent même fouiller dans la culotte. Et c'est ainsi qu'ils m'ont violé", se souvient Rolande.
Depuis ce drame, elle peut cependant compter sur le soutien de son mari qui ne l’a pas abandonnée et continue de la soutenir. Mais le soutien moral de son mari à lui seul ne suffit pas. Rolande bénéficie d’une aide psychologique grâce au centre d’écoute mis en place par la Fondation Denis Mukwegue qui accompagne les victimes de violences sexuelles. (DW)