La compagnie nationale Air Sénégal a réceptionné hier à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass son deuxième avion Airbus A330 neo. A cette occasion, le président de la République a ordonné que tous les ministres, fonctionnaires et autres officiels à emprunter désormais les avions du pavillon national.
«J’exige des membres du gouvernement, des agents de l’administration et de toutes les structures d’Etat à voyager à bord de la compagnie nationale pour les missions officielles. J’y tiens», a affirmé le chef de l’Etat.
«Air Sénégal est une aventure collective. Si chacun de vous agit comme si le sort de l’entreprise ne dépendait que de lui seul, vous allez en faire une aventure réussie », a ajouté le président Sall. A cet égard, a-t-il indiqué, «toute négligence pour une jeune compagnie aérienne qui a besoin de toutes ses forces aura des conséquences fâcheuses comme nous l’avons connu avec Air Afrique et Air Sénégal International.»
A l’intention de la direction générale qui a pris le relais de l’équipe de lancement de la compagnie aérienne, Macky Sall a eu ces mots : «Plus que le transport de passagers, notre compagnie nationale doit refléter dans son service à bord, le meilleur de notre patrimoine artistique, artisanal et culinaire. (…) Nos produits qui remplissent les exigences de qualité doivent trouver leur place à bord d’Air Sénéga
A cet égard, il a invité à prendre en compte le «contenu local afin que les externalités (de la compagnie) profitent pleinement à d’autres filières de l’économie nationale.»
A l’adresse du directeur général, Ibrahima Kane, et de ses collaborateurs, le président de la République a rappelé l’exigence de performance en rapport avec les moyens financiers dégagés.
«Jamais le Sénégal n’a mobilisé autant de ressources. Vous avez un pavillon entre vos mains. Vous êtes le capitaine de notre équipe nationale aérienne, alors à vous de mériter cette confiance.»
En sommant les officiels, notamment les membres du gouvernement et les directeurs généraux des entreprises publiques et parapubliques à emprunter Air Sénégal pour leurs déplacements, Macky Sall revient à la charge. Dès son arrivée au pouvoir en 2012, il avait pris la même mesure, mais pour un résultat quasi nul.
«J’exige des membres du gouvernement, des agents de l’administration et de toutes les structures d’Etat à voyager à bord de la compagnie nationale pour les missions officielles. J’y tiens», a affirmé le chef de l’Etat.
«Air Sénégal est une aventure collective. Si chacun de vous agit comme si le sort de l’entreprise ne dépendait que de lui seul, vous allez en faire une aventure réussie », a ajouté le président Sall. A cet égard, a-t-il indiqué, «toute négligence pour une jeune compagnie aérienne qui a besoin de toutes ses forces aura des conséquences fâcheuses comme nous l’avons connu avec Air Afrique et Air Sénégal International.»
A l’intention de la direction générale qui a pris le relais de l’équipe de lancement de la compagnie aérienne, Macky Sall a eu ces mots : «Plus que le transport de passagers, notre compagnie nationale doit refléter dans son service à bord, le meilleur de notre patrimoine artistique, artisanal et culinaire. (…) Nos produits qui remplissent les exigences de qualité doivent trouver leur place à bord d’Air Sénéga
A cet égard, il a invité à prendre en compte le «contenu local afin que les externalités (de la compagnie) profitent pleinement à d’autres filières de l’économie nationale.»
A l’adresse du directeur général, Ibrahima Kane, et de ses collaborateurs, le président de la République a rappelé l’exigence de performance en rapport avec les moyens financiers dégagés.
«Jamais le Sénégal n’a mobilisé autant de ressources. Vous avez un pavillon entre vos mains. Vous êtes le capitaine de notre équipe nationale aérienne, alors à vous de mériter cette confiance.»
En sommant les officiels, notamment les membres du gouvernement et les directeurs généraux des entreprises publiques et parapubliques à emprunter Air Sénégal pour leurs déplacements, Macky Sall revient à la charge. Dès son arrivée au pouvoir en 2012, il avait pris la même mesure, mais pour un résultat quasi nul.