PARIS (Reuters) - Au moins 53 soldats et un civil ont été tués vendredi dans une attaque menée par des hommes armés contre un poste militaire dans le nord-est du Mali, a fait savoir samedi le porte-parole du gouvernement via Twitter.
Il s'agit de l'une des attaques les plus meurtrières contre les forces gouvernementales maliennes, cible récurrente de groupes djihadistes liés à Al Qaïda ou à l'organisation Etat islamique (EI) qui déstabilisent également certaines régions du Niger et du Burkina Faso.
Le porte-parole du gouvernement malien, Yaya Sangare, a fait état de "dix rescapés" et de "dégâts matériels importants" à la suite de cet assaut, qui s'est produit à Indelimane, ajoutant que la situation était désormais "sous contrôle".
Le 30 septembre, 38 soldats maliens avaient trouvé la mort dans des attaques coordonnées contre deux bases de l'armée dans le centre du pays.
Il s'agit de l'une des attaques les plus meurtrières contre les forces gouvernementales maliennes, cible récurrente de groupes djihadistes liés à Al Qaïda ou à l'organisation Etat islamique (EI) qui déstabilisent également certaines régions du Niger et du Burkina Faso.
Le porte-parole du gouvernement malien, Yaya Sangare, a fait état de "dix rescapés" et de "dégâts matériels importants" à la suite de cet assaut, qui s'est produit à Indelimane, ajoutant que la situation était désormais "sous contrôle".
Le 30 septembre, 38 soldats maliens avaient trouvé la mort dans des attaques coordonnées contre deux bases de l'armée dans le centre du pays.