PARIS (Reuters) - Le président du directoire de Publicis Maurice Lévy (photo), exclut un mariage entre le numéro trois mondial de la publicité et son rival français Havas, dans une interview publiée par le Journal du Dimanche.
"C’est un schéma que nous avions examiné, avant que Vincent Bolloré ne prenne le contrôle d’Havas", dit-il. "Mais il y a de telles oppositions, de telles différences culturelles entre les deux groupes que je ne vois pas le sens d’un tel mariage."
"On peut d’ailleurs s’interroger sur l’intérêt d’une autre fusion, celle entre Vivendi, Canal+ et Havas, qui pose la question de la neutralité, essentielle aux yeux des annonceurs", ajoute le dirigeant de Publicis, dont le mandat prendra fin en 2017.
Il juge par ailleurs le projet avorté de mégafusion de Publicis avec l'américain Omnicom "définitivement mort".
"Et quand je vois le paysage actuel, je ne vois pas l’intérêt de réduire le nombre de groupes, six au total. Nous avons la bonne configuration à l’échelle mondiale et la capacité de croître fortement", ajoute Maurice Lévy.
"C’est un schéma que nous avions examiné, avant que Vincent Bolloré ne prenne le contrôle d’Havas", dit-il. "Mais il y a de telles oppositions, de telles différences culturelles entre les deux groupes que je ne vois pas le sens d’un tel mariage."
"On peut d’ailleurs s’interroger sur l’intérêt d’une autre fusion, celle entre Vivendi, Canal+ et Havas, qui pose la question de la neutralité, essentielle aux yeux des annonceurs", ajoute le dirigeant de Publicis, dont le mandat prendra fin en 2017.
Il juge par ailleurs le projet avorté de mégafusion de Publicis avec l'américain Omnicom "définitivement mort".
"Et quand je vois le paysage actuel, je ne vois pas l’intérêt de réduire le nombre de groupes, six au total. Nous avons la bonne configuration à l’échelle mondiale et la capacité de croître fortement", ajoute Maurice Lévy.