Abdoul El Mazide Ndiaye, porte-parole de la société civile pour le dialogue national, a souligné mardi le caractère nécessaire de ces concertations représentant selon lui la seule voie susceptible d’empêcher "l’autoritarisme et le désespoir".
"Nous continuerons de jouer notre rôle de facilitateur. Nous ne sommes pas partie prenante d’une chose. Nous ne luttons pas contre des règles qui nous favorisent ou qui nous aident à être candidat. La société civile doit agir discrètement et c’est ce que nous faisons. Le dialogue est la seule voie qui peut empêcher l’autoritarisme et le désespoir’’, a-t-il dit à l’ouverture du dialogue nationale
Il a souhaité que soit "bien engagé’’ ce dialogue ’’sans exclusive" auquel le chef de l’Etat a convié l’ensemble des forces vives du pays, après sa réélection à la présidentielle du 24 février dernier pour un second mandat.
"Nous devons commencer par discuter du format du dialogue, parce que si le débat est mal engagé, il n’aboutira nulle part. Pour bien l’engager, il faut que chacun connaisse les règles et que chacun les accepte", a-t-il fait observer.
Il a salué le choix porté sur l’ancien ministre et ancien président du Conseil économique et social, Famara Ibrahima Sagna, pour diriger le comité de pilotage du dialogue national. Selon lui, c’est "le meilleur choix" et la société civile s’aligne derrière ce choix, a-t-il précisé.
"Nous continuerons de jouer notre rôle de facilitateur. Nous ne sommes pas partie prenante d’une chose. Nous ne luttons pas contre des règles qui nous favorisent ou qui nous aident à être candidat. La société civile doit agir discrètement et c’est ce que nous faisons. Le dialogue est la seule voie qui peut empêcher l’autoritarisme et le désespoir’’, a-t-il dit à l’ouverture du dialogue nationale
Il a souhaité que soit "bien engagé’’ ce dialogue ’’sans exclusive" auquel le chef de l’Etat a convié l’ensemble des forces vives du pays, après sa réélection à la présidentielle du 24 février dernier pour un second mandat.
"Nous devons commencer par discuter du format du dialogue, parce que si le débat est mal engagé, il n’aboutira nulle part. Pour bien l’engager, il faut que chacun connaisse les règles et que chacun les accepte", a-t-il fait observer.
Il a salué le choix porté sur l’ancien ministre et ancien président du Conseil économique et social, Famara Ibrahima Sagna, pour diriger le comité de pilotage du dialogue national. Selon lui, c’est "le meilleur choix" et la société civile s’aligne derrière ce choix, a-t-il précisé.