PARIS (Reuters) - Arnaud Montebourg, soutien du candidat socialiste à l'élection présidentielle Benoît Hamon, a appelé jeudi matin au retrait de la candidature du leader de "La France insoumise" Jean-Luc Mélenchon pour permettre à la gauche d'être au second tour.
"Il reste plus d'un mois de discussions, il est parfaitement possible qu'il y ait des comportements qui évoluent", a dit l'ancien ministre du Redressement productif sur France Inter.
"J'appelle au retrait de la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour nous permettre d'être au deuxième tour", a-t-il ajouté. "Nous en avons besoin, nous sommes devant le mur de l'Histoire."
A la question de savoir ce qui pourrait faire changer d'avis le candidat de la "France insoumise", Arnaud Montebourg a répondu: "Son intelligence, son extrême culture et sa vision de la société française et de ses risques, parce que c'est un homme intelligent et j'ai beaucoup d'estime pour lui."
"Il a été ancien ministre socialiste de Lionel Jospin, il est attaché au rôle historique que la gauche a dans l'Histoire", a-t-il ajouté. Benoît Hamon "est devant (...) Nous avons les moyens je crois de convaincre l'un de s'effacer au profit de l'autre dans l'intérêt de la France et de ce que nous pouvons faire ensemble".
A l'heure actuelle, Benoît Hamon arrive en quatrième position dans les intentions de vote pour le premier tour de l'élection présidentielle, devançant de quelques points Jean-Luc Mélenchon.
L'idée d'une alliance Hamon-Mélenchon, soutenue par une partie de l'électorat de gauche inquiet d'une absence au second tour, a été enterrée fin février, les deux prétendants à l'Elysée évoquant des divergences importantes, notamment sur la question européenne.
"Il reste plus d'un mois de discussions, il est parfaitement possible qu'il y ait des comportements qui évoluent", a dit l'ancien ministre du Redressement productif sur France Inter.
"J'appelle au retrait de la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour nous permettre d'être au deuxième tour", a-t-il ajouté. "Nous en avons besoin, nous sommes devant le mur de l'Histoire."
A la question de savoir ce qui pourrait faire changer d'avis le candidat de la "France insoumise", Arnaud Montebourg a répondu: "Son intelligence, son extrême culture et sa vision de la société française et de ses risques, parce que c'est un homme intelligent et j'ai beaucoup d'estime pour lui."
"Il a été ancien ministre socialiste de Lionel Jospin, il est attaché au rôle historique que la gauche a dans l'Histoire", a-t-il ajouté. Benoît Hamon "est devant (...) Nous avons les moyens je crois de convaincre l'un de s'effacer au profit de l'autre dans l'intérêt de la France et de ce que nous pouvons faire ensemble".
A l'heure actuelle, Benoît Hamon arrive en quatrième position dans les intentions de vote pour le premier tour de l'élection présidentielle, devançant de quelques points Jean-Luc Mélenchon.
L'idée d'une alliance Hamon-Mélenchon, soutenue par une partie de l'électorat de gauche inquiet d'une absence au second tour, a été enterrée fin février, les deux prétendants à l'Elysée évoquant des divergences importantes, notamment sur la question européenne.