NIAMEY (Xinhua) -- Un groupe d'assaillants lourdement armés non identifiés a attaqué lundi à l'aube la prison de haute sécurité de Koutoukalé, à 50 km à l'ouest de Niamey, où sont détenus plusieurs terroristes et d'autres individus dangereux de tout acabit, apprend-on de source sécuritaire à Niamey.
Après de violents combats avec les gardiens de la prison appuyés par d'importants renforts envoyés de la capitale, les assaillants se sont enfuis. Mais de source bien informée, ils sont encerclés par les forces armées nigériennes.
Lundi en fin de matinée, une longue colonne de véhicules militaires lourdement armés a quitté Niamey en direction de la zone, a constaté un correspondant de l'agence de presse Xinhua sur place.
Aucun bilan de l'attaque n'est encore disponible.
Depuis quelques semaines, la partie nord-ouest du Niger fait l'objet d'attaques perpétrées par des terroristes venus du Mali voisin.
La dernière remonte au vendredi dernier où un humanitaire américain travaillant pour le compte d'une ONG de son Etat a été enlevé à Abalak, région de Tahoua (proche de la frontière du Mali), par des individus armés non identifiés.
Au cours du rapt, un garde national et un gardien de l'ONG ont été tués.
Le 6 octobre dernier, "une bande de criminels armés non identifiés" à bord de véhicules en provenance du Mali voisin ont attaqué, dans la même zone, le camp de réfugiés maliens de Tazalit, tuant 22 soldats nigériens.
La partie nord du Mali, rappelle-t-on, abrite depuis près de cinq ans plusieurs groupes terroristes proches d'Al-qaida au Maghreb Islamique (Aqmi), d'Ançar Dine et d'autres mouvements rebelles ainsi que des narcotrafiquants qui mènent des attaques meurtrières de part et d'autre de la frontière commune entre le Niger et le Mali.
Après de violents combats avec les gardiens de la prison appuyés par d'importants renforts envoyés de la capitale, les assaillants se sont enfuis. Mais de source bien informée, ils sont encerclés par les forces armées nigériennes.
Lundi en fin de matinée, une longue colonne de véhicules militaires lourdement armés a quitté Niamey en direction de la zone, a constaté un correspondant de l'agence de presse Xinhua sur place.
Aucun bilan de l'attaque n'est encore disponible.
Depuis quelques semaines, la partie nord-ouest du Niger fait l'objet d'attaques perpétrées par des terroristes venus du Mali voisin.
La dernière remonte au vendredi dernier où un humanitaire américain travaillant pour le compte d'une ONG de son Etat a été enlevé à Abalak, région de Tahoua (proche de la frontière du Mali), par des individus armés non identifiés.
Au cours du rapt, un garde national et un gardien de l'ONG ont été tués.
Le 6 octobre dernier, "une bande de criminels armés non identifiés" à bord de véhicules en provenance du Mali voisin ont attaqué, dans la même zone, le camp de réfugiés maliens de Tazalit, tuant 22 soldats nigériens.
La partie nord du Mali, rappelle-t-on, abrite depuis près de cinq ans plusieurs groupes terroristes proches d'Al-qaida au Maghreb Islamique (Aqmi), d'Ançar Dine et d'autres mouvements rebelles ainsi que des narcotrafiquants qui mènent des attaques meurtrières de part et d'autre de la frontière commune entre le Niger et le Mali.