Les députés ougandais de l'opposition ont annoncé mercredi boycotter les sessions parlementaires jusqu'à la libération de deux de leurs collègues, arrêtés début septembre en lien avec une vague de meurtres à la machette commis par des gangs criminels.
La police ougandaise accuse les députés Muhammad Ssegirinya et Allan Ssewanyana d'avoir orchestré cette vague de meurtres, au cours de laquelle, en deux mois, 39 personnes, principalement des villageois âgés, ont été assassinés chez elles, de nuit, dans la région de Masaka, à une centaine de km au sud-ouest de Kampala.
Les deux députés ont été inculpés de meurtre, terrorisme, soutien et aide au terrorisme et tentative de meurtre. Leur avocat dénonce "une persécution politique". Tous deux appartiennent à la Plateforme d'Unité nationale (NUP), parti d'opposition du très populaire chanteur et député Bobi Wine, principal adversaire du président Yoweri Museveni, lors de la présidentielle de janvier qui a vu la réélection du chef de l'Etat, au pouvoir depuis 1986, pour un 6e mandat. (AfricaNews avec AFP)
La police ougandaise accuse les députés Muhammad Ssegirinya et Allan Ssewanyana d'avoir orchestré cette vague de meurtres, au cours de laquelle, en deux mois, 39 personnes, principalement des villageois âgés, ont été assassinés chez elles, de nuit, dans la région de Masaka, à une centaine de km au sud-ouest de Kampala.
Les deux députés ont été inculpés de meurtre, terrorisme, soutien et aide au terrorisme et tentative de meurtre. Leur avocat dénonce "une persécution politique". Tous deux appartiennent à la Plateforme d'Unité nationale (NUP), parti d'opposition du très populaire chanteur et député Bobi Wine, principal adversaire du président Yoweri Museveni, lors de la présidentielle de janvier qui a vu la réélection du chef de l'Etat, au pouvoir depuis 1986, pour un 6e mandat. (AfricaNews avec AFP)