PARIS (Reuters) - Edouard Philippe a déclaré mercredi qu'il "assumait" la "pression considérable" qui pèse sur ses équipes à Matignon et qu'il entendait que leur "engagement total" au service des Français se poursuive, après des informations faisant état de plusieurs départs de la rue de Varenne depuis un an.
"A Matignon on travaille beaucoup, beaucoup et j'y veille", a déclaré le Premier ministre lors d'une conférence de presse, à l'issue d'un séminaire gouvernemental à l'Elysée. "La pression est considérable notamment parce que les attentes des Français sont considérables" et "parce qu'à cet endroit, c'est l'intérêt du service public" qui est en jeu.
"Compte tenu de ces pressions, de l'intensité du travail, on ne peut pas, dès lors qu'on constate que quelque chose ne va pas, espérer que ça va s'arranger ou attendre, donc on prend des décisions rapides et donc lorsque quelqu'un nous dit ça ne va pas bien se passer, on en tire les conséquences", a-t-il ajouté.
Dans ces cas-là, les personnes sont réaffectées à un autre poste administratif et non licenciées, a-t-il précisé.
"L'ensemble des retours que j'ai, d'un très grand nombre de personnel de Matignon, montrent qu'il y a un engagement total au service des Français. J'entends que cet engagement total, cette exigence totale soit maintenue, je l'assume", a poursuivi le Premier ministre.
Selon l'Express, quatorze secrétaires, dont six au sein du secrétariat particulier d'Edouard Philippe, ont quitté leur poste en l'espace d'un an, et un audit aurait été effectué en interne en début d'année par une société de conseil en entreprise.
"A Matignon on travaille beaucoup, beaucoup et j'y veille", a déclaré le Premier ministre lors d'une conférence de presse, à l'issue d'un séminaire gouvernemental à l'Elysée. "La pression est considérable notamment parce que les attentes des Français sont considérables" et "parce qu'à cet endroit, c'est l'intérêt du service public" qui est en jeu.
"Compte tenu de ces pressions, de l'intensité du travail, on ne peut pas, dès lors qu'on constate que quelque chose ne va pas, espérer que ça va s'arranger ou attendre, donc on prend des décisions rapides et donc lorsque quelqu'un nous dit ça ne va pas bien se passer, on en tire les conséquences", a-t-il ajouté.
Dans ces cas-là, les personnes sont réaffectées à un autre poste administratif et non licenciées, a-t-il précisé.
"L'ensemble des retours que j'ai, d'un très grand nombre de personnel de Matignon, montrent qu'il y a un engagement total au service des Français. J'entends que cet engagement total, cette exigence totale soit maintenue, je l'assume", a poursuivi le Premier ministre.
Selon l'Express, quatorze secrétaires, dont six au sein du secrétariat particulier d'Edouard Philippe, ont quitté leur poste en l'espace d'un an, et un audit aurait été effectué en interne en début d'année par une société de conseil en entreprise.