Bintou Keïta, la cheffe de la MONUSCO (Mission d’organisation des Nations-Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo), a estimé ce mercredi que « partout en RDC, les discours de haine doivent être combattus de manière proactive ». C’était au cours d’une conférence de presse dont les propos ont été rapportés dans un communiqué par Ndèye Khady Lô, la porte-parole adjointe de la MONUSCO.
« Les Nations-Unies sont profondément préoccupées par des rapports faisant état d’une augmentation des discours de haine dans le pays contre certaines communautés », a indiqué Mme Keïta.
La diplomate guinéenne, nommée à la tête de la MONUSCO depuis janvier 2021, « réitère son appel à la cessation des hostilités, à la désescalade et à la retenue dans l’est de la République démocratique du Congo ».
Elle a « invité les différents acteurs du conflit à la compassion pour que cessent les massacres des personnes civiles, surtout des femmes et des enfants », ajoute la même source.
Présent en République démocratique du Congo depuis un accord-cadre signé en 2013, la MONUSCO a principalement pour rôle d’assurer la protection des populations civiles très souvent prises en tenaille dans un imbroglio in-sécuritaire ou s’affrontent les Forces armées de la RDC et des milices rivales elles-mêmes engagées dans des batailles visant à contrôler les zones minières dont le pays regorge.
« Les Nations-Unies sont profondément préoccupées par des rapports faisant état d’une augmentation des discours de haine dans le pays contre certaines communautés », a indiqué Mme Keïta.
La diplomate guinéenne, nommée à la tête de la MONUSCO depuis janvier 2021, « réitère son appel à la cessation des hostilités, à la désescalade et à la retenue dans l’est de la République démocratique du Congo ».
Elle a « invité les différents acteurs du conflit à la compassion pour que cessent les massacres des personnes civiles, surtout des femmes et des enfants », ajoute la même source.
Présent en République démocratique du Congo depuis un accord-cadre signé en 2013, la MONUSCO a principalement pour rôle d’assurer la protection des populations civiles très souvent prises en tenaille dans un imbroglio in-sécuritaire ou s’affrontent les Forces armées de la RDC et des milices rivales elles-mêmes engagées dans des batailles visant à contrôler les zones minières dont le pays regorge.