Les présidents Kagame et Tshisekedi
Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya a évoqué, mercredi 25 mai, le soutien de Kigali au M23, en violation des accords bilatéraux. Il a livré ce point de vue du gouvernement au sortir d’une réunion sécuritaire de crise, organisée par le Premier ministre, Sama Lukonde, dans son cabinet de travail, à Kinshasa.
« Sur instruction du commandant suprême des FARDC, le Premier ministre a tenu une réunion de crise qui a réuni les responsables du gouvernement, de la défense, de l'Intérieur, mais aussi les chefs de l'armée et de la police pour passer en revue la situation qui se passe depuis quelques jours dans la province du Nord-Kivu. Il est établi suivant les éléments que nous avons reçu du terrain, qu'en tout cas des soupçons se cristallisent sur un soutien qu'aurait reçu le M23 de la part du Rwanda », a affirmé Patrick Muyaya.
Devant la presse, le porte-parole du gouvernement a également révélé qu’une délégation de Kinshasa séjourne à Kigali pour l'activation du mécanisme de suivi des accords entre les deux pays. « A ces propos, nous avons activé le mécanisme de suivi. Et d'ailleurs, le chef de ce mécanisme se trouve présentement à Kigali pour attester ces faits », renseigne-t-il. (Radio Okapi)
« Sur instruction du commandant suprême des FARDC, le Premier ministre a tenu une réunion de crise qui a réuni les responsables du gouvernement, de la défense, de l'Intérieur, mais aussi les chefs de l'armée et de la police pour passer en revue la situation qui se passe depuis quelques jours dans la province du Nord-Kivu. Il est établi suivant les éléments que nous avons reçu du terrain, qu'en tout cas des soupçons se cristallisent sur un soutien qu'aurait reçu le M23 de la part du Rwanda », a affirmé Patrick Muyaya.
Devant la presse, le porte-parole du gouvernement a également révélé qu’une délégation de Kinshasa séjourne à Kigali pour l'activation du mécanisme de suivi des accords entre les deux pays. « A ces propos, nous avons activé le mécanisme de suivi. Et d'ailleurs, le chef de ce mécanisme se trouve présentement à Kigali pour attester ces faits », renseigne-t-il. (Radio Okapi)