PARIS (Reuters) - Alain Juppé, finaliste malheureux de la primaire de la droite pour l'élection présidentielle, a répété lundi matin qu'il ne serait pas le "plan B" des Républicains si François Fillon est contraint de jeter l'éponge par le "Penelopegate".
"Aux auteurs de rumeurs infondées, une confirmation : pour moi, NON c'est NON. Je dirai pourquoi. Aujourd'hui écoutons FF, notre candidat", écrit le maire de Bordeaux dans un tweet.
"Je crois à l'esprit bordelais. Une ville fidèle à son esprit girondin, à la tempérance, à la modération. Tout ne vient pas d'en haut", ajoute-t-il.
Une position qu'il a réitérée à son arrivée à la mairie de Bordeaux : "Clairement et définitivement, c’est non !", a-t-il déclaré à des journalistes. "J’ai un peu de mal à comprendre d’où viennent ces rumeurs."
François Fillon prépare ce qui pourrait être la tentative de la dernière chance de sortir par le haut du piège ouvert par les révélations du Canard enchaîné sur les emplois fictifs présumés dont auraient profité son épouse, Penelope, et deux de ses enfants.
Selon son entourage, il pourrait réunir dans les prochaines heures son conseil stratégique et les parlementaires du parti Les Républicains (LR).
Mais surtout, il pourrait s'adresser directement aux Français, comme le pressent de le faire ses proches et des moins proches. Par exemple par une intervention à la télévision, doublée par une expression écrite.
"Aux auteurs de rumeurs infondées, une confirmation : pour moi, NON c'est NON. Je dirai pourquoi. Aujourd'hui écoutons FF, notre candidat", écrit le maire de Bordeaux dans un tweet.
"Je crois à l'esprit bordelais. Une ville fidèle à son esprit girondin, à la tempérance, à la modération. Tout ne vient pas d'en haut", ajoute-t-il.
Une position qu'il a réitérée à son arrivée à la mairie de Bordeaux : "Clairement et définitivement, c’est non !", a-t-il déclaré à des journalistes. "J’ai un peu de mal à comprendre d’où viennent ces rumeurs."
François Fillon prépare ce qui pourrait être la tentative de la dernière chance de sortir par le haut du piège ouvert par les révélations du Canard enchaîné sur les emplois fictifs présumés dont auraient profité son épouse, Penelope, et deux de ses enfants.
Selon son entourage, il pourrait réunir dans les prochaines heures son conseil stratégique et les parlementaires du parti Les Républicains (LR).
Mais surtout, il pourrait s'adresser directement aux Français, comme le pressent de le faire ses proches et des moins proches. Par exemple par une intervention à la télévision, doublée par une expression écrite.