Cheikh Oumar Hann, ancien Directeur du Coud, maire de Ndioum (Podor)
«Avec l’arrivée du directeur Cheikh Oumar Hann, l’OFNAC a relevé plus de 155 employés natifs de Ndioum, commune dont M. Hann est le premier magistrat (maire). Pire, en voulant donner des niveaux de rémunération supérieurs aux agents originaires de Ndioum, M. Cheikh Oumar Hann a créé une situation discriminatoire inédite entre agents temporaires. »
La masse salariale mensuelle du personnel temporaire est passée de 154,951 millions FCFA en juin 2014 à 225,653 millions FCFA en juin 2015
«Les nouveaux recrutés, moins expérimentés, originaires de Ndioum, étaient mieux rémunérés que les autres qui avaient parfois plus de 10 ans d’expérience, mais venaient des autres coins du Sénégal. Cette situation discriminatoire n’était pas tenable et a obligé le directeur à relever tous les salaires des travailleurs temporaires de 44mille FCFA à 70 mille FCFA par mois.
L’effectif pléthorique du personnel temporaire conjugué à l’augmentation des salaires a conduit le COUD à des difficultés de trésorerie sans précédent dès le mois d’avril 2015. Ainsi, les crédits inhérents au personnel temporaire se sont épuisés dès le mois d’avril avec des impayés de 6,957 millions FCFA.
Selon le rapport de l’OFNAC, la masse salariale mensuelle du personnel temporaire est passée de 154,951 millions FCFA en juin 2014 à 225,653 millions FCFA en juin 2015, soit une hausse de plus de 45% d’une année à l’autre. En guise de comparaison : la masse salariale du personnel temporaire était de 1 milliard 575 millions 724 mille FCFA pour toute l’année 2014, alors que celle du premier semestre 2015 avait déjà atteint 1 milliard 308 millions 552 mille FCFA.
Comment affronter dans ces conditions le second semestre de l’année 2015 ?»
La masse salariale mensuelle du personnel temporaire est passée de 154,951 millions FCFA en juin 2014 à 225,653 millions FCFA en juin 2015
«Les nouveaux recrutés, moins expérimentés, originaires de Ndioum, étaient mieux rémunérés que les autres qui avaient parfois plus de 10 ans d’expérience, mais venaient des autres coins du Sénégal. Cette situation discriminatoire n’était pas tenable et a obligé le directeur à relever tous les salaires des travailleurs temporaires de 44mille FCFA à 70 mille FCFA par mois.
L’effectif pléthorique du personnel temporaire conjugué à l’augmentation des salaires a conduit le COUD à des difficultés de trésorerie sans précédent dès le mois d’avril 2015. Ainsi, les crédits inhérents au personnel temporaire se sont épuisés dès le mois d’avril avec des impayés de 6,957 millions FCFA.
Selon le rapport de l’OFNAC, la masse salariale mensuelle du personnel temporaire est passée de 154,951 millions FCFA en juin 2014 à 225,653 millions FCFA en juin 2015, soit une hausse de plus de 45% d’une année à l’autre. En guise de comparaison : la masse salariale du personnel temporaire était de 1 milliard 575 millions 724 mille FCFA pour toute l’année 2014, alors que celle du premier semestre 2015 avait déjà atteint 1 milliard 308 millions 552 mille FCFA.
Comment affronter dans ces conditions le second semestre de l’année 2015 ?»