« Ces sanctions qui sont mises en place, cela s’apparente à une déclaration de guerre », a affirmé Vladimir Poutine. « Mais Dieu merci, on n’en est pas encore arrivé là », a-t-il ajouté.
Le maître du Kremlin a cependant mis en garde l’Occident contre la tentation d’imposer une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, une mesure que Kyiv réclame avec insistance mais à laquelle l’OTAN se refuse pour ne pas se retrouver entraînée dans un affrontement direct avec la Russie.
L’instauration d’une zone d’exclusion serait considérée par Moscou « comme une participation au conflit armé de tout pays » dont le territoire serait utilisé pour « créer une menace envers nos militaires », a prévenu M. Poutine.
Vladimir Poutine a averti que l’Ukraine pourrait perdre son « statut d’État » si elle continuait à refuser de céder aux exigences russes.
Moscou réclame notamment un statut « neutre et non nucléaire » pour l’Ukraine et sa démilitarisation, ce que Kyiv, qui cherche à adhérer à l’Union européenne et à l’OTAN, juge inacceptable.
Les autorités ukrainiennes « doivent comprendre que si elles continuent de faire ce qu’elles font, elles mettent en question l’avenir du statut d’État ukrainien. Et si cela se passe, elles en seront entièrement responsables », a déclaré M. Poutine au cours d’une rencontre samedi avec des employées des compagnies aériennes russes à l’occasion de la prochaine Journée de la femme, une des fêtes les plus célébrées dans le pays.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé dimanche sur Twitter s’être entretenu une nouvelle fois au téléphone avec son homologue américain Joe Biden pour discuter de « questions de sécurité », du « soutien financier pour l’Ukraine » et de « la poursuite des sanctions contre la Russie ».
Au cours de cet entretien d’une demi-heure, M. Biden a mis l’accent sur les sanctions prises par Washington et ses alliés « pour faire porter à la Russie le coût de son agression contre l’Ukraine », selon la Maison-Blanche.
Le président américain a également félicité les entreprises, de plus en plus nombreuses, qui ont décidé de cesser de travailler en Russie.
Dernières en dates : les géants américains des cartes bancaires Visa et Mastercard, qui ont annoncé samedi la suspension de leurs opérations en Russie. Les cartes Visa et Mastercard émises par les banques russes ne fonctionneront plus à l’étranger, et les cartes étrangères ne seront plus valables en Russie.
Le maître du Kremlin a cependant mis en garde l’Occident contre la tentation d’imposer une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, une mesure que Kyiv réclame avec insistance mais à laquelle l’OTAN se refuse pour ne pas se retrouver entraînée dans un affrontement direct avec la Russie.
L’instauration d’une zone d’exclusion serait considérée par Moscou « comme une participation au conflit armé de tout pays » dont le territoire serait utilisé pour « créer une menace envers nos militaires », a prévenu M. Poutine.
Vladimir Poutine a averti que l’Ukraine pourrait perdre son « statut d’État » si elle continuait à refuser de céder aux exigences russes.
Moscou réclame notamment un statut « neutre et non nucléaire » pour l’Ukraine et sa démilitarisation, ce que Kyiv, qui cherche à adhérer à l’Union européenne et à l’OTAN, juge inacceptable.
Les autorités ukrainiennes « doivent comprendre que si elles continuent de faire ce qu’elles font, elles mettent en question l’avenir du statut d’État ukrainien. Et si cela se passe, elles en seront entièrement responsables », a déclaré M. Poutine au cours d’une rencontre samedi avec des employées des compagnies aériennes russes à l’occasion de la prochaine Journée de la femme, une des fêtes les plus célébrées dans le pays.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé dimanche sur Twitter s’être entretenu une nouvelle fois au téléphone avec son homologue américain Joe Biden pour discuter de « questions de sécurité », du « soutien financier pour l’Ukraine » et de « la poursuite des sanctions contre la Russie ».
Au cours de cet entretien d’une demi-heure, M. Biden a mis l’accent sur les sanctions prises par Washington et ses alliés « pour faire porter à la Russie le coût de son agression contre l’Ukraine », selon la Maison-Blanche.
Le président américain a également félicité les entreprises, de plus en plus nombreuses, qui ont décidé de cesser de travailler en Russie.
Dernières en dates : les géants américains des cartes bancaires Visa et Mastercard, qui ont annoncé samedi la suspension de leurs opérations en Russie. Les cartes Visa et Mastercard émises par les banques russes ne fonctionneront plus à l’étranger, et les cartes étrangères ne seront plus valables en Russie.