Paris - La start-up Blade, qui a développé "Shadow", un ordinateur virtuel dans le cloud, passe à la vitesse supérieure et vise 100.000 clients en 2018, a annoncé mardi l'un de ses fondateurs, Emmanuel Freund.
La start-up créée en 2015, compte à présent quelque 5.000 clients, essentiellement des passionnés de jeux vidéo, qui ont expérimenté sa première offre d'informatique dans le cloud qu'elle présente comme "le PC du futur".
Le principe repose sur le "cloud computing", des services informatiques dématérialisés en ligne fournis par un boîtier, et doit permettre aux utilisateurs, via un abonnement mensuel, de disposer d'un ordinateur virtuel offrant les meilleures performances disponibles sur le marché.
"On va passer à un monde où la puissance ne sera plus dans les ordinateurs, mais dans le cloud", a prédit Emmanuel Freund au cours d'une conférence de presse.
Shadow lance le 29 novembre une nouvelle offre, accessible à un plus grand nombre d'utilisateurs, qui fournira une puissance de 8,2 teraflops, contre 6,5 teraflops pour sa version précédente.
Elle est dotée d'un stockage de 256 gigaoctets, qui devrait être augmenté à terme.
Le service sera disponible d'abord en France puis en Belgique et Suisse avant la fin de l'année, et en Grande-Bretagne, Allemagne et Etats-Unis l'an prochain.
"On va proposer un ordinateur plus puissant qu'un ordinateur de 1.600 euros", explique Emmanuel Freund.
L'utilisateur "pourra se connecter depuis n'importe quel appareil (tablette, mobile, PC) pour se connecter à son ordinateur" et retrouver ses fichiers ou ses jeux avec la même interface, poursuit-il.
Outre les passionnés de jeux vidéo, et les professionnels qui ont besoin de machines puissantes comme les architectes, Blade espère convertir aussi le grand public à moyen terme.
Blade, qui a levé 51 millions d'euros en juin, compte 70 employés et vient d'ouvrir un bureau à Palo Alto en Californie.
La start-up créée en 2015, compte à présent quelque 5.000 clients, essentiellement des passionnés de jeux vidéo, qui ont expérimenté sa première offre d'informatique dans le cloud qu'elle présente comme "le PC du futur".
Le principe repose sur le "cloud computing", des services informatiques dématérialisés en ligne fournis par un boîtier, et doit permettre aux utilisateurs, via un abonnement mensuel, de disposer d'un ordinateur virtuel offrant les meilleures performances disponibles sur le marché.
"On va passer à un monde où la puissance ne sera plus dans les ordinateurs, mais dans le cloud", a prédit Emmanuel Freund au cours d'une conférence de presse.
Shadow lance le 29 novembre une nouvelle offre, accessible à un plus grand nombre d'utilisateurs, qui fournira une puissance de 8,2 teraflops, contre 6,5 teraflops pour sa version précédente.
Elle est dotée d'un stockage de 256 gigaoctets, qui devrait être augmenté à terme.
Le service sera disponible d'abord en France puis en Belgique et Suisse avant la fin de l'année, et en Grande-Bretagne, Allemagne et Etats-Unis l'an prochain.
"On va proposer un ordinateur plus puissant qu'un ordinateur de 1.600 euros", explique Emmanuel Freund.
L'utilisateur "pourra se connecter depuis n'importe quel appareil (tablette, mobile, PC) pour se connecter à son ordinateur" et retrouver ses fichiers ou ses jeux avec la même interface, poursuit-il.
Outre les passionnés de jeux vidéo, et les professionnels qui ont besoin de machines puissantes comme les architectes, Blade espère convertir aussi le grand public à moyen terme.
Blade, qui a levé 51 millions d'euros en juin, compte 70 employés et vient d'ouvrir un bureau à Palo Alto en Californie.