La Tunisie a dépassé la barre des 10 000 décès, avec un taux de mortalité extrêmement élevé, le deuxième en Afrique. Quant à la campagne de vaccination, elle peine à décoller. Explications. Le début du mois de ramadan – le 13 avril – a vu une augmentation rapide et inquiétante des cas de Covid-19 en Tunisie. Alors que le pays comptait 1 079 nouveaux cas le 12 avril, la barre des 2 000 nouveaux cas quotidiens a été dépassée huit jours plus tard, avec 2 169 nouvelles personnes contaminées et 93 décès, selon le ministère de la Santé.
Le 22 avril, ce ne sont pas moins de 2 305 nouveaux cas qui ont été comptabilisés, soit l’un des bilans les plus lourds depuis le début de la pandémie en Tunisie en mars 2020. Selon les spécialistes, ces chiffres alarmants sont dus essentiellement à la propagation du variant britannique dans le pays. Le gouvernement tunisien a ainsi pris la décision de renforcer les restrictions le 17 avril pour freiner la propagation du virus, avec la fermeture des écoles primaires, secondaires, ainsi que les universités, alors que les régions dont le taux d’incidence est jugé dangereusement élevé sont isolées. (Jeune Afrique)
Le 22 avril, ce ne sont pas moins de 2 305 nouveaux cas qui ont été comptabilisés, soit l’un des bilans les plus lourds depuis le début de la pandémie en Tunisie en mars 2020. Selon les spécialistes, ces chiffres alarmants sont dus essentiellement à la propagation du variant britannique dans le pays. Le gouvernement tunisien a ainsi pris la décision de renforcer les restrictions le 17 avril pour freiner la propagation du virus, avec la fermeture des écoles primaires, secondaires, ainsi que les universités, alors que les régions dont le taux d’incidence est jugé dangereusement élevé sont isolées. (Jeune Afrique)