L'opposant Saleh Kebzabo
Trois des dix candidats à la présidentielle tchadienne du 11 avril prochain qui se sont retirés officiellement du processus électoral, mais ont été maintenus dans la course par la Cour suprême du pays, ont leurs noms et photos bien en place sur les spécimens de bulletins de vote qui ont été distribués au parti.
L’opposant Saleh Kebzabo, l’un de ces « candidats malgré eux », comme ils se nomment, s’est lancé dans une drôle de campagne, dans le Mayo-Kebbi Est (sud-ouest du pays), où il vient de passer plusieurs jours en appelant au boycott du scrutin. Pendant quatre jours, Saleh Kebzabo était dans le fin fond de la région du Mayo-Kebbi Est où il est allé de village en village pour parler « au pays profond », dit-il.
Son objectif est celui d’expliquer aux Tchadiens - qui n’écoutent pas les radios et n’ont pas accès aux réseaux sociaux - son mot d’ordre de boycott de la présidentielle du 11 avril prochain. (RFI)
L’opposant Saleh Kebzabo, l’un de ces « candidats malgré eux », comme ils se nomment, s’est lancé dans une drôle de campagne, dans le Mayo-Kebbi Est (sud-ouest du pays), où il vient de passer plusieurs jours en appelant au boycott du scrutin. Pendant quatre jours, Saleh Kebzabo était dans le fin fond de la région du Mayo-Kebbi Est où il est allé de village en village pour parler « au pays profond », dit-il.
Son objectif est celui d’expliquer aux Tchadiens - qui n’écoutent pas les radios et n’ont pas accès aux réseaux sociaux - son mot d’ordre de boycott de la présidentielle du 11 avril prochain. (RFI)