Le président Faure Gnassingbé
Les discussions politiques initiées à la demande du président togolais Faure Gnassingbé ont débouché sur 52 propositions. Celles-ci seront examinées par le gouvernement avant d’être soumises à l’Assemblée nationale. Entamées depuis janvier, les discussions conduites entre majorité et une partie de l’opposition dans le cadre de la Concertation nationale des acteurs politiques (CNAP) ont abouti à 52 propositions, présentées le 13 juillet.
Objectif de ce dialogue entamé au lendemain de la réélection de Faure Gnassingbé, toujours contestée par Agbéyomé Kodjo : s’accorder sur des mesures concrètes pour apaiser un climat politique crispé. Ce rapport final, déjà transmis au chef de l’État, sera bientôt examiné par le gouvernement puis soumis à l’Assemblée nationale.
Parmi ces propositions : une demande de grâce présidentielle pour les « détenus politiques » arrêtés lors des manifestations politiques de 2018. Une demande similaire a été formulée concernant des acteurs politiques, dont Jean-Pierre Fabre, chef de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), toujours inculpé dans l’affaire des incendies ayant ravagé les grands marchés de Kara et Lomé en janvier 2013.
Les 21 partis politiques ayant participé au dialogue – Jean-Pierre Fabre et l’ANC ont claqué la porte du CNAP – ont aussi proposé que la plage horaire des manifestations publiques soit désormais élargie de « 8 à 19 heures », au lieu des « 11 à 18 heures » prévues dans la loi de 2019 sur l’exercice de la liberté de réunion et de manifestations politiques publiques. (Jeune Afrique)
Objectif de ce dialogue entamé au lendemain de la réélection de Faure Gnassingbé, toujours contestée par Agbéyomé Kodjo : s’accorder sur des mesures concrètes pour apaiser un climat politique crispé. Ce rapport final, déjà transmis au chef de l’État, sera bientôt examiné par le gouvernement puis soumis à l’Assemblée nationale.
Parmi ces propositions : une demande de grâce présidentielle pour les « détenus politiques » arrêtés lors des manifestations politiques de 2018. Une demande similaire a été formulée concernant des acteurs politiques, dont Jean-Pierre Fabre, chef de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), toujours inculpé dans l’affaire des incendies ayant ravagé les grands marchés de Kara et Lomé en janvier 2013.
Les 21 partis politiques ayant participé au dialogue – Jean-Pierre Fabre et l’ANC ont claqué la porte du CNAP – ont aussi proposé que la plage horaire des manifestations publiques soit désormais élargie de « 8 à 19 heures », au lieu des « 11 à 18 heures » prévues dans la loi de 2019 sur l’exercice de la liberté de réunion et de manifestations politiques publiques. (Jeune Afrique)