« J’ai des petits surnoms pour chacun d’entre eux ».
A la veille du premier vote des primaires démocrates, dans l’Iowa, Donald Trump a passé dimanche en revue ses possibles adversaires à la présidentielle du 3 novembre.
Bernie Sanders, l’un des favoris dans l’Iowa ?
« Je pense que c’est un communiste. Je pense au communisme quand je pense à Bernie », a répondu le président américain sur la chaîne de télévision Fox News.
« Je le vois comme un socialiste, mais bien au-delà d’un socialiste », a-t-il ajouté.
« Au moins, il est fidèle à ce qu’il croit », a-t-il ajouté, avant de décocher une flèche à la sénatrice Elizabeth Warren « qui ne sait pas dire la vérité ».
« Je l’appelle Bernie-le-dingue », a poursuivi Donald Trump, affirmant une nouvelle fois que ses adversaires démocrates étaient « en train de truquer l’élection contre lui ».
L’ancien vice-président Joe Biden ?
« Je pense juste qu’il est assoupi. Je le regarde, il est assoupi. Joe l’endormi ».
Le milliardaire Michael Bloomberg ?
« Très petit », a répondu le locataire de la Maison Blanche, assurant que ce dernier avait réclamé « une boîte » sur laquelle se tenir debout pendant les débats.
« Ce n’est pas un problème d’être petit (...) Mais il veut une boîte pour les débats, pourquoi aurait-il droit à cela? », a-t-il poursuivi, sans autres explications.
L’équipe de l’ancien maire de New York a vivement réagi face à cette surprenante sortie.
« Le président ment », a ainsi rétorqué Julie Wood, la porte-parole de sa campagne. « C’est un menteur invétéré qui ment sur tout : ses faux cheveux, son obésité et son bronzage artificiel ».
L’élection présidentielle américaine aura lieu dans 275 jours. (AFP)
A la veille du premier vote des primaires démocrates, dans l’Iowa, Donald Trump a passé dimanche en revue ses possibles adversaires à la présidentielle du 3 novembre.
Bernie Sanders, l’un des favoris dans l’Iowa ?
« Je pense que c’est un communiste. Je pense au communisme quand je pense à Bernie », a répondu le président américain sur la chaîne de télévision Fox News.
« Je le vois comme un socialiste, mais bien au-delà d’un socialiste », a-t-il ajouté.
« Au moins, il est fidèle à ce qu’il croit », a-t-il ajouté, avant de décocher une flèche à la sénatrice Elizabeth Warren « qui ne sait pas dire la vérité ».
« Je l’appelle Bernie-le-dingue », a poursuivi Donald Trump, affirmant une nouvelle fois que ses adversaires démocrates étaient « en train de truquer l’élection contre lui ».
L’ancien vice-président Joe Biden ?
« Je pense juste qu’il est assoupi. Je le regarde, il est assoupi. Joe l’endormi ».
Le milliardaire Michael Bloomberg ?
« Très petit », a répondu le locataire de la Maison Blanche, assurant que ce dernier avait réclamé « une boîte » sur laquelle se tenir debout pendant les débats.
« Ce n’est pas un problème d’être petit (...) Mais il veut une boîte pour les débats, pourquoi aurait-il droit à cela? », a-t-il poursuivi, sans autres explications.
L’équipe de l’ancien maire de New York a vivement réagi face à cette surprenante sortie.
« Le président ment », a ainsi rétorqué Julie Wood, la porte-parole de sa campagne. « C’est un menteur invétéré qui ment sur tout : ses faux cheveux, son obésité et son bronzage artificiel ».
L’élection présidentielle américaine aura lieu dans 275 jours. (AFP)