La Banque Africaine de Développement (BAD) et la Banque Européenne d’Investissement (BEI) ont consenti conjointement vendredi à Dakar au Sénégal un prêt de 20,6 milliards FCFA(environ 31,4 millions d’euros) en faveur de la Compagnie Agricole de Saint Louis (CASL), société privée spécialisée dans la riziculture.
L’accord de financement a été signé entre M. Cheikh Tidiane Diop secrétaire général du ministère de l’économie, des finances et du plan et les représentants résidant de la BAD et de la BEI.
Selon M. Diop, le financement est destiné à la réalisation d’un projet intégré de production de riz dans la vallée du fleuve Sénégal (Nord). « L’agriculture sénégalaise a connu dans le passé un problème structurel lié à la baisse régulière de sa contribution au produit intérieur brut (PIB) alors qu’elle regroupe la majorité de la population », a souligné M. Diop.
Selon lui, le Plan Sénégal Emergent (PSE) est la solution à ce problème structurel et c’est dans cette optique que le Sénégal a élaboré le Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS), volet agricole du Plan Sénégal Emergent (PSE), qui vise la construction d’une agriculture compétitive, diversifiée et durable.
« Les statistiques de la Banque Mondiale sur les composantes du PIB et les excellentes performances du secteur agricole en 2015 le confirment, le Sénégal est en route vers un modèle de transition agricole comparable à celui des pays émergents », a indiqué le haut fonctionnaire. Selon lui, la hausse record de 57% de la production agricole en 2015, notamment céréalière, certifie que les initiatives du Président Macky Sall pour transformer l’agriculture sont judicieuses. « Au cours de cette même année, les récoltes céréalières ont atteint plus de 2,2 millions de tonnes, soit une augmentation de plus de 80% par rapport à 2014 alors que la production de paddy a augmenté de 64% passant de 559 000 tonnes à 917 371 tonnes », avance M. Diop.
La CASL, société privée de droit sénégalais est une filiale de la Holding Française AfricAgri. Elle a démarré ses travaux au nord du pays, en juillet 2013. Elle a exploité 540 ha sur les 2500 ha aménagés pour un coût d’investissement projeté de 28 milliards FCFA répartis dans la production, les aménagements et la construction d’une rizerie. Le riz ainsi produit par la CASL est destiné au marché sénégalais. (APA Dakar)
L’accord de financement a été signé entre M. Cheikh Tidiane Diop secrétaire général du ministère de l’économie, des finances et du plan et les représentants résidant de la BAD et de la BEI.
Selon M. Diop, le financement est destiné à la réalisation d’un projet intégré de production de riz dans la vallée du fleuve Sénégal (Nord). « L’agriculture sénégalaise a connu dans le passé un problème structurel lié à la baisse régulière de sa contribution au produit intérieur brut (PIB) alors qu’elle regroupe la majorité de la population », a souligné M. Diop.
Selon lui, le Plan Sénégal Emergent (PSE) est la solution à ce problème structurel et c’est dans cette optique que le Sénégal a élaboré le Programme d’Accélération de la Cadence de l’Agriculture Sénégalaise (PRACAS), volet agricole du Plan Sénégal Emergent (PSE), qui vise la construction d’une agriculture compétitive, diversifiée et durable.
« Les statistiques de la Banque Mondiale sur les composantes du PIB et les excellentes performances du secteur agricole en 2015 le confirment, le Sénégal est en route vers un modèle de transition agricole comparable à celui des pays émergents », a indiqué le haut fonctionnaire. Selon lui, la hausse record de 57% de la production agricole en 2015, notamment céréalière, certifie que les initiatives du Président Macky Sall pour transformer l’agriculture sont judicieuses. « Au cours de cette même année, les récoltes céréalières ont atteint plus de 2,2 millions de tonnes, soit une augmentation de plus de 80% par rapport à 2014 alors que la production de paddy a augmenté de 64% passant de 559 000 tonnes à 917 371 tonnes », avance M. Diop.
La CASL, société privée de droit sénégalais est une filiale de la Holding Française AfricAgri. Elle a démarré ses travaux au nord du pays, en juillet 2013. Elle a exploité 540 ha sur les 2500 ha aménagés pour un coût d’investissement projeté de 28 milliards FCFA répartis dans la production, les aménagements et la construction d’une rizerie. Le riz ainsi produit par la CASL est destiné au marché sénégalais. (APA Dakar)