Les Tchadiens continuent de demander que justice soit faite à la suite du massacre du 20 octobre. On redoute plus de 80 morts lors des affrontements qui sont survenus pendant les manifestations contre la prolongation de la durée de la transition du président Mahamat Idriss Déby.
A part les événements du 20 octobre, des cas de torture ont également été signalés dans les jours qui ont suivi. Certaines écoles, selon des témoignages, ont été fermées et transformées en centres de détention, où selon les mêmes sources, des cas de torture et de violence envers les détenus.
Devant cette situation, certaines organisations régionales de défense des droits de l'homme ont annoncé vouloir saisir la justice internationale. Par exemple, Dobian Assingar, délégué permanent de la Fédération internationale des droits de l'homme auprès de la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) l'a déclaré à la DW.
"Nous allons faire le monitoring et les utiliser quelque part. il faut que les auteurs répondent de leurs actes. Nous irons devant les juridictions internationales", a-t-il dit.
D'autres organisations mondiales, notamment celle de lutte contre la torture (OMCT) déclarent que ce qui s'est passé au Tchad depuis le 20 octobre était "de graves violations des droits humains". (DW)
A part les événements du 20 octobre, des cas de torture ont également été signalés dans les jours qui ont suivi. Certaines écoles, selon des témoignages, ont été fermées et transformées en centres de détention, où selon les mêmes sources, des cas de torture et de violence envers les détenus.
Devant cette situation, certaines organisations régionales de défense des droits de l'homme ont annoncé vouloir saisir la justice internationale. Par exemple, Dobian Assingar, délégué permanent de la Fédération internationale des droits de l'homme auprès de la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) l'a déclaré à la DW.
"Nous allons faire le monitoring et les utiliser quelque part. il faut que les auteurs répondent de leurs actes. Nous irons devant les juridictions internationales", a-t-il dit.
D'autres organisations mondiales, notamment celle de lutte contre la torture (OMCT) déclarent que ce qui s'est passé au Tchad depuis le 20 octobre était "de graves violations des droits humains". (DW)