Wall Street a clôturé la séance en ordre dispersé lundi à la veille des élections américaines de mi-mandat, les investisseurs, prudents, délaissant les valeurs technologiques au profit d'entreprises réputées moins volatiles.
Selon les résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette de Wall Street, le Dow Jones Industrial Average, a pris 0,76% à 25.461,70 points. L'indice Nasdaq, à forte coloration technologique, a perdu 0,38%, à 7.328,85 points.
L'indice élargi S&P 500 a abandonné 0,56% à 2.738,31 points.
A défaut d'information d'envergure lundi, les acteurs du marché ont timidement démarré la semaine, dans l'attente mardi du vote de millions d'Américains dans le cadre des élections législatives de mi-mandat.
Le scénario le plus probable à l'issue de ce vote, de l'avis de nombreux investisseurs, est celui d'un Congrès divisé, avec une majorité demeurant républicaine au Sénat et un basculement démocrate à la chambre des Représentants.
Cette possibilité "n'a pas l'air d'inquiéter outre-mesure les investisseurs", a estimé Sam Stovall de CFRA, précisant toutefois qu'ils ont adopté une position "défensive" lundi.
A l'aune de cette échéance politique, les courtiers ont en effet effectué quelques arbitrages prudents, notamment en se délestant d'actions du secteur technologique au profit d'entreprises réputées moins volatiles, à l'instar des banques, des services aux collectivités, ou de l'immobilier.
Parmi les valeurs technologiques les plus touchées par ce mouvement, Amazon a perdu 2,27%, Alphabet (maison-mère de Google) 1,47% et Apple 2,84%.
La marque à la pomme subit un vent de défiance depuis la publication de ses résultats jeudi soir. Elle a perdu plus de 9% lors des deux dernières séances et a clôturé lundi sous le seuil symbolique des 1.000 milliards de dollars de valeur boursière.
Sur le marché obligataire, le taux de la dette à 10 ans des Etats-Unis baissait à 3,201%, contre 3,212% vendredi soir, et celui de la dette à 30 ans à 3,434%, contre 3,454% en fin de semaine dernière.
Selon les résultats définitifs à la clôture, l'indice vedette de Wall Street, le Dow Jones Industrial Average, a pris 0,76% à 25.461,70 points.
L'indice élargi S&P 500 a abandonné 0,56% à 2.738,31 points.
A défaut d'information d'envergure lundi, les acteurs du marché ont timidement démarré la semaine, dans l'attente mardi du vote de millions d'Américains dans le cadre des élections législatives de mi-mandat.
Le scénario le plus probable à l'issue de ce vote, de l'avis de nombreux investisseurs, est celui d'un Congrès divisé, avec une majorité demeurant républicaine au Sénat et un basculement démocrate à la chambre des Représentants.
Cette possibilité "n'a pas l'air d'inquiéter outre-mesure les investisseurs", a estimé Sam Stovall de CFRA, précisant toutefois qu'ils ont adopté une position "défensive" lundi.
A l'aune de cette échéance politique, les courtiers ont en effet effectué quelques arbitrages prudents, notamment en se délestant d'actions du secteur technologique au profit d'entreprises réputées moins volatiles, à l'instar des banques, des services aux collectivités, ou de l'immobilier.
Parmi les valeurs technologiques les plus touchées par ce mouvement, Amazon a perdu 2,27%, Alphabet (maison-mère de Google) 1,47% et Apple 2,84%.
La marque à la pomme subit un vent de défiance depuis la publication de ses résultats jeudi soir. Elle a perdu plus de 9% lors des deux dernières séances et a clôturé lundi sous le seuil symbolique des 1.000 milliards de dollars de valeur boursière.
Sur le marché obligataire, le taux de la dette à 10 ans des Etats-Unis baissait à 3,201%, contre 3,212% vendredi soir, et celui de la dette à 30 ans à 3,434%, contre 3,454% en fin de semaine dernière.