NEW YORK (Reuters) - Wall Street a terminé en hausse modérée mardi, General Electric et les valeurs high tech, de l’énergie et des biens non essentiels lui ayant permis de récupérer une partie du terrain perdu la veille dans un contexte d’aggravation des tensions commerciales internationales.
L’indice S&P-500 a subi lundi sa pire jourée depuis plus de deux mois, réagissant au fait que le président américain Donald Trump souhaiterait interdire certains investissements étrangers dans des entreprises technologiques américaines.
Les déclarations contradictoires à ce sujet avaient également plombé les valeurs high tech la veille. Elles se sont redressées mardi et Apple, par exemple a gagné 1,24%, rompant une série de trois baisses consécutives.
L’indice sectoriel a progressé de 0,48%, contribuant à la hausse un peu meilleure du Nasdaq par rapport au Dow Jones et au S&P-500.
Hausse également des valeurs de l’énergie, dont l’indice a gagné 1,40%, plus hausse forte sectorielle du jour, après que les Etats-Unis eurent exhorté leurs alliés à ne plus importer de pétrole iranien, ce qui a fait monter les cours du brut.
L’indice Dow Jones a gagné 30,31 points (0,12%) à 24.283,11 points. Le S&P-500 a pris 5,99 points (0,22%) à 2.723,06 points. Le Nasdaq Composite a avancé de 29,62 points (0,39%) à 7.561,63 points.
“On respire chez les high techs et l’énergie produit un rally sur la base des fondamentaux”, a dit Robert Phipps (Per Stirling Capital Management).
General Electric a annoncé son intention de scinder sa division santé et de sortir du capital de sa filiale parapétrolière Baker Hughes pour se recentrer sur l’aéronautique, l’électricité et les énergies renouvelables. Décision saluée par le marché, en témoigne une hausse finale de 7,76% au premier jour de cotation d’une société ne figurant plus dans l’indice Dow Industrials.
Le constructeur immobilier Lennar a gagné près de 5% grâce à des résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Le fermeté des valeurs des biens non essentiels, où l’on retrouve aussi bien Lennar que le deux FANG Amazon (+1,7%) et Netflix (+3,9%), lesquels, comme Apple, ont redressé la barre ce mardi, atteste l’existence de fondamentaux solides, qui apaisent quelque peu des investisseurs inquiets des tensions commerciales, a noté J.J. Kinahan (TD Ameritrade).
Le volume a été de 6,77 milliards de titres échangés contre 7,28 milliards en moyenne sur les 20 dernières séances.
Le dollar a connu une bonne journée, progressant sur un large front car les escarmouches commerciales internationales ont poussé les cambistes à s’éloigner de la plupart des devises à rendement élevé et à se rappeler que la Réserve fédérale est censée poursuivre sa politique de remontée des taux d’intérêt.
L’indice du dollar, qui mesure l’évolution du billet vert face à six monnaies de référence, a gagné 0,5% à 94,74, après avoir reculé de 0,9% durant les quatre séances précédentes.
Le dollar, qui avait cédé 0,2% contre le yen, devise refuge, a progressé de 0,3% mardi.
Robert Kaplan, le président de la Fed de Dallas, a dit mardi que la politique monétaire de la Fed restait accommodante, laissant penser qu’elle pourrait encore remonter les taux deux fois au moins avant qu’elle ne le soit plus.
Cette même considération explique que les rendements des Treasuries aient monté, freinant les achats dits de précaution lorsque le contexte macroéconomique est un peu troublé.
Le spread entre les papiers à deux et 10 ans n’a en revanche pas beaucoup varié, à 34 points de base, un point de base de mieux que lundi, qui était le plus resserré depuis 2007.
Le Trésor a placé avec succès 34 milliards de dollars d’obligations à deux ans mardi et récidivera mercredi avec 36 milliards de dollars de papier à cinq ans et jeudi avec 30 milliards de titres à sept ans.
L’indice S&P-500 a subi lundi sa pire jourée depuis plus de deux mois, réagissant au fait que le président américain Donald Trump souhaiterait interdire certains investissements étrangers dans des entreprises technologiques américaines.
Les déclarations contradictoires à ce sujet avaient également plombé les valeurs high tech la veille. Elles se sont redressées mardi et Apple, par exemple a gagné 1,24%, rompant une série de trois baisses consécutives.
L’indice sectoriel a progressé de 0,48%, contribuant à la hausse un peu meilleure du Nasdaq par rapport au Dow Jones et au S&P-500.
Hausse également des valeurs de l’énergie, dont l’indice a gagné 1,40%, plus hausse forte sectorielle du jour, après que les Etats-Unis eurent exhorté leurs alliés à ne plus importer de pétrole iranien, ce qui a fait monter les cours du brut.
L’indice Dow Jones a gagné 30,31 points (0,12%) à 24.283,11 points. Le S&P-500 a pris 5,99 points (0,22%) à 2.723,06 points. Le Nasdaq Composite a avancé de 29,62 points (0,39%) à 7.561,63 points.
“On respire chez les high techs et l’énergie produit un rally sur la base des fondamentaux”, a dit Robert Phipps (Per Stirling Capital Management).
General Electric a annoncé son intention de scinder sa division santé et de sortir du capital de sa filiale parapétrolière Baker Hughes pour se recentrer sur l’aéronautique, l’électricité et les énergies renouvelables.
Le constructeur immobilier Lennar a gagné près de 5% grâce à des résultats trimestriels meilleurs que prévu.
Le fermeté des valeurs des biens non essentiels, où l’on retrouve aussi bien Lennar que le deux FANG Amazon (+1,7%) et Netflix (+3,9%), lesquels, comme Apple, ont redressé la barre ce mardi, atteste l’existence de fondamentaux solides, qui apaisent quelque peu des investisseurs inquiets des tensions commerciales, a noté J.J. Kinahan (TD Ameritrade).
Le volume a été de 6,77 milliards de titres échangés contre 7,28 milliards en moyenne sur les 20 dernières séances.
Le dollar a connu une bonne journée, progressant sur un large front car les escarmouches commerciales internationales ont poussé les cambistes à s’éloigner de la plupart des devises à rendement élevé et à se rappeler que la Réserve fédérale est censée poursuivre sa politique de remontée des taux d’intérêt.
L’indice du dollar, qui mesure l’évolution du billet vert face à six monnaies de référence, a gagné 0,5% à 94,74, après avoir reculé de 0,9% durant les quatre séances précédentes.
Le dollar, qui avait cédé 0,2% contre le yen, devise refuge, a progressé de 0,3% mardi.
Robert Kaplan, le président de la Fed de Dallas, a dit mardi que la politique monétaire de la Fed restait accommodante, laissant penser qu’elle pourrait encore remonter les taux deux fois au moins avant qu’elle ne le soit plus.
Cette même considération explique que les rendements des Treasuries aient monté, freinant les achats dits de précaution lorsque le contexte macroéconomique est un peu troublé.
Le spread entre les papiers à deux et 10 ans n’a en revanche pas beaucoup varié, à 34 points de base, un point de base de mieux que lundi, qui était le plus resserré depuis 2007.
Le Trésor a placé avec succès 34 milliards de dollars d’obligations à deux ans mardi et récidivera mercredi avec 36 milliards de dollars de papier à cinq ans et jeudi avec 30 milliards de titres à sept ans.