La Corée du Nord a affirmé samedi avoir procédé à un nouvel essai de drone sous-marin d’attaque nucléaire, en réponse à des exercices militaires communs de la Corée du Sud et des États-Unis.
Le test de ce « système d’arme stratégique sous-marine » s’est tenu du 4 au 7 avril, a précisé l’agence officielle KCNA. L’engin de type Haeil-2 a parcouru une « distance sous-marine simulée de 1000 km », a-t-elle ajouté.
La Corée du Nord avait annoncé le 23 mars un premier test de ce dispositif inédit, susceptible selon elle de « produire un tsunami radioactif de grande ampleur ».
L’arme a « explosé avec précision sous l’eau », a ajouté KCNA, affirmant que cet essai « prouve la fiabilité du système d’armement stratégique sous-marin et sa faculté d’attaque fatale ».
Séoul et Washington ont mené le 5 avril des manœuvres aériennes conjointes, impliquant au moins un bombardier américain de modèle B-52H capable d’emporter des armes nucléaires, selon l’armée sud-coréenne.
Pyongyang considère que ces exercices sont des répétitions en vue d’une invasion de son territoire et multiplie les tests d’armements. Le régime a notamment affirmé avoir procédé au lancement d’un missile balistique intercontinental (ICBM) le 16 mars.
La Corée du Nord s’est déclarée l’an passé puissance nucléaire « irréversible » et, en mars, Kim Jong-un a ordonné à ses troupes d’intensifier leurs exercices en vue d’une « guerre réelle ». Il a par ailleurs appelé à accélérer la production de matière fissile pour armes nucléaires.
Des images satellites prises il y a un mois ont montré un haut niveau d’activité dans le principal complexe nucléaire nord-coréen, à Yongbyon, selon l’organisation 38 North, basée aux États-Unis. (AFP)
Le test de ce « système d’arme stratégique sous-marine » s’est tenu du 4 au 7 avril, a précisé l’agence officielle KCNA. L’engin de type Haeil-2 a parcouru une « distance sous-marine simulée de 1000 km », a-t-elle ajouté.
La Corée du Nord avait annoncé le 23 mars un premier test de ce dispositif inédit, susceptible selon elle de « produire un tsunami radioactif de grande ampleur ».
L’arme a « explosé avec précision sous l’eau », a ajouté KCNA, affirmant que cet essai « prouve la fiabilité du système d’armement stratégique sous-marin et sa faculté d’attaque fatale ».
Séoul et Washington ont mené le 5 avril des manœuvres aériennes conjointes, impliquant au moins un bombardier américain de modèle B-52H capable d’emporter des armes nucléaires, selon l’armée sud-coréenne.
Pyongyang considère que ces exercices sont des répétitions en vue d’une invasion de son territoire et multiplie les tests d’armements. Le régime a notamment affirmé avoir procédé au lancement d’un missile balistique intercontinental (ICBM) le 16 mars.
La Corée du Nord s’est déclarée l’an passé puissance nucléaire « irréversible » et, en mars, Kim Jong-un a ordonné à ses troupes d’intensifier leurs exercices en vue d’une « guerre réelle ». Il a par ailleurs appelé à accélérer la production de matière fissile pour armes nucléaires.
Des images satellites prises il y a un mois ont montré un haut niveau d’activité dans le principal complexe nucléaire nord-coréen, à Yongbyon, selon l’organisation 38 North, basée aux États-Unis. (AFP)