LONDRES (Reuters) - La Grande-Bretagne et l'Union européenne se sont entendues sur le montant de leur rupture, rapportent mardi le Daily Telegraph et le Financial Times, des informations qui font monter la livre sterling face au dollar et à l'euro.
Citant des sources diplomatiques, le Financial Times écrit que la Grande-Bretagne est prête à honorer l'intégralité de ses engagements financiers, soit un total pouvant aller jusqu'à 100 milliards d'euros, dans le cadre d'un accord passé avec Bruxelles.
Le quotidien économique ajoute que les paiements nets de Londres sur ce passif, étalés sur plusieurs décennies, pourraient représenter moins de la moitié de ce total.
Auparavant, le Daily Telegraph a écrit que la Grande-Bretagne avait donné son accord de principe à l'Union européenne, qui lui demande 60 milliards d'euros, ajoutant que la somme définitive, laissée délibérément dans l'ambiguïté, serait comprise entre 45 et 55 milliards.
Un accord sur le montant du divorce permettrait d'annoncer l'ouverture de la deuxième phase des discussions lors du Conseil européen des 14 et 15 décembre.
La Commission européenne s'est refusée à tout commentaire sur les articles des journaux et tandis qu'un membre du gouvernement britannique a dit "ne pas reconnaître" les informations du Daily Telegraph.
La Première ministre britannique Theresa May doit s'entretenir lundi avec Jean-Claude Juncker et Michel Barnier, qui sont respectivement président de la Commission européenne et négociateur en chef de l'UE pour le Brexit.
Vendredi dernier, le président du Conseil européen, Donald Tusk a dit à Theresa May qu'elle n'avait plus que dix jours pour apporter des propositions claires sur les trois sujets de contentieux liés au divorce entre le Royaume-Uni et l'Union européenne.
Citant des sources diplomatiques, le Financial Times écrit que la Grande-Bretagne est prête à honorer l'intégralité de ses engagements financiers, soit un total pouvant aller jusqu'à 100 milliards d'euros, dans le cadre d'un accord passé avec Bruxelles.
Le quotidien économique ajoute que les paiements nets de Londres sur ce passif, étalés sur plusieurs décennies, pourraient représenter moins de la moitié de ce total.
Auparavant, le Daily Telegraph a écrit que la Grande-Bretagne avait donné son accord de principe à l'Union européenne, qui lui demande 60 milliards d'euros, ajoutant que la somme définitive, laissée délibérément dans l'ambiguïté, serait comprise entre 45 et 55 milliards.
Un accord sur le montant du divorce permettrait d'annoncer l'ouverture de la deuxième phase des discussions lors du Conseil européen des 14 et 15 décembre.
La Commission européenne s'est refusée à tout commentaire sur les articles des journaux et tandis qu'un membre du gouvernement britannique a dit "ne pas reconnaître" les informations du Daily Telegraph.
La Première ministre britannique Theresa May doit s'entretenir lundi avec Jean-Claude Juncker et Michel Barnier, qui sont respectivement président de la Commission européenne et négociateur en chef de l'UE pour le Brexit.
Vendredi dernier, le président du Conseil européen, Donald Tusk a dit à Theresa May qu'elle n'avait plus que dix jours pour apporter des propositions claires sur les trois sujets de contentieux liés au divorce entre le Royaume-Uni et l'Union européenne.