Le général Saïd Chengriha a été terrorisé par l’ampleur de la grande marche organisée à Paris pour la commémoration du 42ème anniversaire du Printemps berbère (printemps noir du 20 avril 1980), surtout que la manifestation brandit de nouveau les slogans du Hirak hostile au régime militaire en Algérie, ainsi que les revendications autonomistes du mouvement Kabyle.
En effet, le chef de la junte au pouvoir en Algérie a de quoi s’inquiéter de cette marche du dimanche 17 avril, vu l’importance de la diaspora algérienne en France à laquelle s’étaient ralliés de nombreux Algériens venant d’autres pays européens. La diaspora kabyle s’est également mobilisée en Amérique du Nord pour célébrer cet évènement afin de dénoncer la dictature du pouvoir militaire d’Alger.
Ce qui embarrasse le plus le général Changriha, ce sont les revendications qui sont portées par les manifestants. En tête de ces demandes, l’exigence d’un État civil et non militaire, qui représente la principale demande du mouvement de protestation du Hirak, à l’origine de la chute en 2019 de l’ex-président Bouteflika.
L’autre revendication brandie par la marche de dimanche à Paris, porte sur la libération des centaines de détenus politiques et d’opinion, incarcérés dans des « prisons secrètes » tenues par les services secrets de la junte militaire algérienne. Les protestataires dénoncent la répression féroce menée par les services algériens, accusés de recourir à des méthodes terroristes contre les opposants pacifiques. (Sahel-Intelligence)
En effet, le chef de la junte au pouvoir en Algérie a de quoi s’inquiéter de cette marche du dimanche 17 avril, vu l’importance de la diaspora algérienne en France à laquelle s’étaient ralliés de nombreux Algériens venant d’autres pays européens. La diaspora kabyle s’est également mobilisée en Amérique du Nord pour célébrer cet évènement afin de dénoncer la dictature du pouvoir militaire d’Alger.
Ce qui embarrasse le plus le général Changriha, ce sont les revendications qui sont portées par les manifestants. En tête de ces demandes, l’exigence d’un État civil et non militaire, qui représente la principale demande du mouvement de protestation du Hirak, à l’origine de la chute en 2019 de l’ex-président Bouteflika.
L’autre revendication brandie par la marche de dimanche à Paris, porte sur la libération des centaines de détenus politiques et d’opinion, incarcérés dans des « prisons secrètes » tenues par les services secrets de la junte militaire algérienne. Les protestataires dénoncent la répression féroce menée par les services algériens, accusés de recourir à des méthodes terroristes contre les opposants pacifiques. (Sahel-Intelligence)