Le 13 janvier, Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, a publié dans le Quotidien du Peuple un article intitulé « Notre époque a besoin de leaders réactifs et qui ont le courage d'agir », dans lequel il souligne que Davos attend avec impatience ce que va dire la Chine, et d'écouter le Président Xi Jinping présenter son interprétation de la façon dont la Chine va assumer sa responsabilité et son leadership dans les affaires internationales.
Klaus Schwab a noté que la réunion annuelle de 2017 du Forum économique mondial de Davos aura pour thème « Leadership : réactivité et courage d'agir ». Notre monde d'aujourd'hui est en pleine mutation et connaît de profonds changements. Il estime par ailleurs que les dirigeants du monde font face à une tâche particulièrement difficile, prendre les bonnes décisions. Pour ce faire, les dirigeants doivent, tout comme un système « radar », avoir un sens aigu de la perception et, tout comme une « boussole » un sens des valeurs et de la vision : sans système de radar, il est impossible de recevoir les signaux, et sans boussole, ils perdront de leur crédibilité.
Les participants discuteront de sujets s'articulant autour de quatre grands objectifs mondiaux communs : promouvoir la croissance économique, améliorer le caractère inclusif du système d'économie de marché, préparer la quatrième révolution industrielle, et renforcer la coopération internationale.
Pour atteindre ces objectifs, Klaus Schwab a soumis quatre exigences aux dirigeants : ils doivent raviver la vitalité de l'économie dès que possible, générer de l'optimisme économique, de la cohésion sociale et de la confiance politique mutuelle mais aussi créer une bonne ambiance de coopération internationale au sein de la communauté, et, par conséquent, ils doivent prendre les mesures plus fermes qui soient pour assurer le fonctionnement optimal du système économique ; ils doivent se préparer plus pleinement à faire face aux changements perturbateurs engendrés par la quatrième révolution industrielle, en particulier ceux qui affectent le marché du travail ; enfin, ils doivent garder à l'esprit que notre monde est un monde interdépendant.
Klaus Schwab est venu pour la première fois en Chine en 1979, et depuis lors, le Forum économique mondial a maintenu des relations très étroites avec la Chine. Dans l'article, il a souligné que notre monde est à présent entré dans une période de transition caractérisée par une multi-polarisation, et c'est pourquoi Davos attend avec impatience ce que va exprimer la Chine et écouter le Président Xi Jinping donner son interprétation sur la façon dont la Chine va assumer un rôle de leadership responsable dans la direction des affaires internationales. (Bai Yang, journaliste au Quotidien du Peuple)
Klaus Schwab a noté que la réunion annuelle de 2017 du Forum économique mondial de Davos aura pour thème « Leadership : réactivité et courage d'agir ». Notre monde d'aujourd'hui est en pleine mutation et connaît de profonds changements. Il estime par ailleurs que les dirigeants du monde font face à une tâche particulièrement difficile, prendre les bonnes décisions. Pour ce faire, les dirigeants doivent, tout comme un système « radar », avoir un sens aigu de la perception et, tout comme une « boussole » un sens des valeurs et de la vision : sans système de radar, il est impossible de recevoir les signaux, et sans boussole, ils perdront de leur crédibilité.
Les participants discuteront de sujets s'articulant autour de quatre grands objectifs mondiaux communs : promouvoir la croissance économique, améliorer le caractère inclusif du système d'économie de marché, préparer la quatrième révolution industrielle, et renforcer la coopération internationale.
Pour atteindre ces objectifs, Klaus Schwab a soumis quatre exigences aux dirigeants : ils doivent raviver la vitalité de l'économie dès que possible, générer de l'optimisme économique, de la cohésion sociale et de la confiance politique mutuelle mais aussi créer une bonne ambiance de coopération internationale au sein de la communauté, et, par conséquent, ils doivent prendre les mesures plus fermes qui soient pour assurer le fonctionnement optimal du système économique ; ils doivent se préparer plus pleinement à faire face aux changements perturbateurs engendrés par la quatrième révolution industrielle, en particulier ceux qui affectent le marché du travail ; enfin, ils doivent garder à l'esprit que notre monde est un monde interdépendant.
Klaus Schwab est venu pour la première fois en Chine en 1979, et depuis lors, le Forum économique mondial a maintenu des relations très étroites avec la Chine. Dans l'article, il a souligné que notre monde est à présent entré dans une période de transition caractérisée par une multi-polarisation, et c'est pourquoi Davos attend avec impatience ce que va exprimer la Chine et écouter le Président Xi Jinping donner son interprétation sur la façon dont la Chine va assumer un rôle de leadership responsable dans la direction des affaires internationales. (Bai Yang, journaliste au Quotidien du Peuple)