Le ministre Tunisien de la Santé Slim Chaker, 56 ans, est décédé dimanche après avoir fait un malaise cardiaque lors d'un marathon organisé au profit d'une association luttant contre le cancer, a annoncé le ministère.
"J'ai perdu un frère et un collègue," a écrit le Premier ministre Youssef Chahed sur sa page Facebook. "Il est parti (...) en faisant son devoir, et il est mort en faisant un noble acte humanitaire", a-t-il ajouté.
Le ministre avait couru dimanche matin quelque 500 mètres d'un marathon organisé à Nabeul par une association collectant des fonds pour construire un hôpital destiné aux enfants cancéreux, a indiqué le service de communication du ministère de la Santé à l'AFP.
Le ministre a fait un discours puis il est monté dans sa voiture où il a fait un malaise, selon la même source, et il est mort à l'hôpital militaire de Tunis où il avait été transporté.
Médias et réseaux sociaux ont rendu hommage à cet ancien conseiller du président Béji Caïd Essebsi, nommé au gouvernement lors du remaniement de septembre 2017.
"Il aura payé de son sang le prix de son engagement patriotique", a notamment souligné sur Twitter le magazine tunisien Leaders.
D'autres internautes voulaient voir en lui une victime des défaillances du système de santé tunisien, qui n'est pas parvenu à le sauver.
Slim Chaker avait déjà siégé au gouvernement à plusieurs reprises depuis la révolte de 2011, notamment comme ministre de la Jeunesse et des Sports, puis des Finances en 2016.
"J'ai perdu un frère et un collègue," a écrit le Premier ministre Youssef Chahed sur sa page Facebook. "Il est parti (...) en faisant son devoir, et il est mort en faisant un noble acte humanitaire", a-t-il ajouté.
Le ministre avait couru dimanche matin quelque 500 mètres d'un marathon organisé à Nabeul par une association collectant des fonds pour construire un hôpital destiné aux enfants cancéreux, a indiqué le service de communication du ministère de la Santé à l'AFP.
Le ministre a fait un discours puis il est monté dans sa voiture où il a fait un malaise, selon la même source, et il est mort à l'hôpital militaire de Tunis où il avait été transporté.
Médias et réseaux sociaux ont rendu hommage à cet ancien conseiller du président Béji Caïd Essebsi, nommé au gouvernement lors du remaniement de septembre 2017.
"Il aura payé de son sang le prix de son engagement patriotique", a notamment souligné sur Twitter le magazine tunisien Leaders.
D'autres internautes voulaient voir en lui une victime des défaillances du système de santé tunisien, qui n'est pas parvenu à le sauver.
Slim Chaker avait déjà siégé au gouvernement à plusieurs reprises depuis la révolte de 2011, notamment comme ministre de la Jeunesse et des Sports, puis des Finances en 2016.