L’Asie du Sud-Est a accueilli samedi un nouveau membre surprise venu de l’autre côté du monde, la Colombie, du moins pour un instant, grâce à un lapsus verbal de Joe Biden.
« Je tiens à remercier le premier ministre pour le leadership de la Colombie à la présidence de l’ASEAN », a déclaré le président américain en ouvrant le sommet de l’Asie du Sud-Est à Phnom Penh, aux côtés du premier ministre du Cambodge Hun Sen.
La Colombie, pays d’Amérique du Sud, semble être dans l’esprit du président américain, car il a commis la même erreur en quittant la Maison-Blanche pour son long voyage en Asie.
Il a déclaré aux journalistes qu’il « se dirigeait vers la Colombie » (« Colombia » en anglais NDLR), avant de se corriger rapidement pour dire « je veux dire, le Cambodge » (« Cambodia »).
M. Biden, qui aura 80 ans ce mois-ci, est réputé pour ses nombreuses gaffes depuis le début de sa carrière à Washington.
Sa dernière en date, qui se conteste facilement d’un point de vue géographique, était malgré tout moins embarrassante que celle de sa vice-présidente en septembre dernier en Corée du Sud.
Kamala Harris, lors d’une visite dans la zone démilitarisée séparant la Corée du Nord de la Corée du Sud, avait déclaré que les États-Unis avaient « une alliance avec la République de Corée du Nord. Et c’est une alliance qui est forte et durable ». (AFP)
« Je tiens à remercier le premier ministre pour le leadership de la Colombie à la présidence de l’ASEAN », a déclaré le président américain en ouvrant le sommet de l’Asie du Sud-Est à Phnom Penh, aux côtés du premier ministre du Cambodge Hun Sen.
La Colombie, pays d’Amérique du Sud, semble être dans l’esprit du président américain, car il a commis la même erreur en quittant la Maison-Blanche pour son long voyage en Asie.
Il a déclaré aux journalistes qu’il « se dirigeait vers la Colombie » (« Colombia » en anglais NDLR), avant de se corriger rapidement pour dire « je veux dire, le Cambodge » (« Cambodia »).
M. Biden, qui aura 80 ans ce mois-ci, est réputé pour ses nombreuses gaffes depuis le début de sa carrière à Washington.
Sa dernière en date, qui se conteste facilement d’un point de vue géographique, était malgré tout moins embarrassante que celle de sa vice-présidente en septembre dernier en Corée du Sud.
Kamala Harris, lors d’une visite dans la zone démilitarisée séparant la Corée du Nord de la Corée du Sud, avait déclaré que les États-Unis avaient « une alliance avec la République de Corée du Nord. Et c’est une alliance qui est forte et durable ». (AFP)