Ce lundi, un « message » envoyé par le chef d’Etat major-général des armées ivoiriennes à tous les chefs militaires a sonné la mise en alerte des troupes sur l’ensemble du territoire national pour contrer des velléités de subversion à travers des « mesures conservatoires », notamment dans les zones frontalières de passage de populations.
Selon le Général de corps d’armée Lassina Doumbia, « des individus non identifiés ont ouvert le feu sur les postes de garde de la base militaire de N’dotré » située dans la commune abidjanaise d’Abobo « avec l’intention certaine d’y pénétrer de force. » Trois membres du commando d’attaque ont été tués dans les affrontements ; un autre, blessé, a été fait prisonnier et du matériel à usage militaire saisi, lit-on dans un communiqué de l’Etat-major général des armées publié ce mardi 21 avril. « La réaction immédiate des sentinelles de faction a donné lieu à des échanges de tirs nourris, obligeant les assaillants à prendre la fuite.»
Pour l’état-major militaire, des « actions subversives » pèsent sur plusieurs localités comme Abidjan, Dabou (non loin de la capitale), San-Pedro (dans le sud-ouest) et Tabou à l’ouest non loin de la frontière avec le Libéria).
A cet effet, le chef des armées ivoiriennes ordonne le renforcement des zones frontalières ouest et nord avec « intensification des patrouilles pédestres et motorisées » aux alentours de toutes les emprises et « sécurisation des plans d’eaux fluviaux », relève-t-on dans le « message » adressé aux responsables militaires.
A Abidjan et alentours, « des opérations militaires de ratissage ont été engagées sur le terrain et se poursuivent », souligne le communiqué de l’état-major qui précise néanmoins que « la situation sécuritaire reste sous contrôle. »
Selon le Général de corps d’armée Lassina Doumbia, « des individus non identifiés ont ouvert le feu sur les postes de garde de la base militaire de N’dotré » située dans la commune abidjanaise d’Abobo « avec l’intention certaine d’y pénétrer de force. » Trois membres du commando d’attaque ont été tués dans les affrontements ; un autre, blessé, a été fait prisonnier et du matériel à usage militaire saisi, lit-on dans un communiqué de l’Etat-major général des armées publié ce mardi 21 avril. « La réaction immédiate des sentinelles de faction a donné lieu à des échanges de tirs nourris, obligeant les assaillants à prendre la fuite.»
Pour l’état-major militaire, des « actions subversives » pèsent sur plusieurs localités comme Abidjan, Dabou (non loin de la capitale), San-Pedro (dans le sud-ouest) et Tabou à l’ouest non loin de la frontière avec le Libéria).
A cet effet, le chef des armées ivoiriennes ordonne le renforcement des zones frontalières ouest et nord avec « intensification des patrouilles pédestres et motorisées » aux alentours de toutes les emprises et « sécurisation des plans d’eaux fluviaux », relève-t-on dans le « message » adressé aux responsables militaires.
A Abidjan et alentours, « des opérations militaires de ratissage ont été engagées sur le terrain et se poursuivent », souligne le communiqué de l’état-major qui précise néanmoins que « la situation sécuritaire reste sous contrôle. »