Alger - Le géant public algérien des hydrocarbures Sonatrach a signé lundi à Alger deux accords avec les groupes pétroliers français Total et italien ENI en vue d'évaluer les éventuelles ressources pétrolières offshore en Méditerranée, selon un communiqué.
Fin septembre, le PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, avait annoncé le lancement début 2019 des premiers forages d'exploration offshore dans les eaux algériennes.
"C'est certain, il y a du potentiel. D'après les études préliminaires, il y a de très bonnes perspectives", avait-il précisé.
Les accords signés lundi à Alger "concernent l'exploration et l'évaluation du potentiel pétrolier du bassin offshore algérien dans ses parties orientales et occidentales", a précisé Sonatrach.
Ils portent sur "l'acquisition de données sismiques 3D, le traitement sismique et leurs interprétations" selon le texte.
L'Algérie, qui tire 60% de ses ressources budgétaires et 95% de ses ressources en devises du pétrole, cherche à enrayer le déclin de sa production.
"Ensemble, avec Sonatrach et Total, nous allons avoir l'opportunité d'explorer les eaux profondes du offshore algérien, une zone virtuellement inexplorée, où Eni pourra apporter son expérience en Méditerranée orientale et sa panoplie de technologies avancées d'exploration", a déclaré le PDG d'Eni Claudio Descalzi, selon un communiqué de l'entreprise italienne.
Le géant national algérien a également annoncé avoir cédé à Eni 49% de ses parts "sur les trois périmètres de recherches Zemlet Elarbi, Sif Fatima et Orhoud II", situés dans le gisement de Berkine, dans l'est du territoire algérien.
Sonatrach conserve 51% des intérêts dans ces contrats de recherche et d'exploitation d'une durée de 25 ans.
Les deux partenaires envisagent un premier programme de travaux estimé à plus d'un milliard de dollars (878 millions d'euros) et des investissements initiaux à hauteur de 80 millions de dollars dans un programme d'exploration, selon Sonatrach.
Fin septembre, le PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, avait annoncé le lancement début 2019 des premiers forages d'exploration offshore dans les eaux algériennes.
"C'est certain, il y a du potentiel. D'après les études préliminaires, il y a de très bonnes perspectives", avait-il précisé.
Les accords signés lundi à Alger "concernent l'exploration et l'évaluation du potentiel pétrolier du bassin offshore algérien dans ses parties orientales et occidentales", a précisé Sonatrach.
Ils portent sur "l'acquisition de données sismiques 3D, le traitement sismique et leurs interprétations" selon le texte.
L'Algérie, qui tire 60% de ses ressources budgétaires et 95% de ses ressources en devises du pétrole, cherche à enrayer le déclin de sa production.
"Ensemble, avec Sonatrach et Total, nous allons avoir l'opportunité d'explorer les eaux profondes du offshore algérien, une zone virtuellement inexplorée, où Eni pourra apporter son expérience en Méditerranée orientale et sa panoplie de technologies avancées d'exploration", a déclaré le PDG d'Eni Claudio Descalzi, selon un communiqué de l'entreprise italienne.
Le géant national algérien a également annoncé avoir cédé à Eni 49% de ses parts "sur les trois périmètres de recherches Zemlet Elarbi, Sif Fatima et Orhoud II", situés dans le gisement de Berkine, dans l'est du territoire algérien.
Sonatrach conserve 51% des intérêts dans ces contrats de recherche et d'exploitation d'une durée de 25 ans.
Les deux partenaires envisagent un premier programme de travaux estimé à plus d'un milliard de dollars (878 millions d'euros) et des investissements initiaux à hauteur de 80 millions de dollars dans un programme d'exploration, selon Sonatrach.