WASHINGTON (Reuters) - La Commission judiciaire de la Chambre des Représentants entendra mardi Facebook, YouTube, filiale d'Alphabet, et Twitter afin de déterminer si les réseaux sociaux filtrent les contenus à des fins politiques, a annoncé vendredi le président de la commission.
Les parlementaires républicains reprochent à ces réseaux des pratiques ayant des motivations politiques lorsqu'ils retirent certains contenus, en particulier républicains, ce dont ils se défendent.
Bob Goodlatte, le président de la commission parlementaire, a dit qu'il se félicitait que ces réseaux dépêchent des experts "pour répondre à des questions sur leurs pratiques de modération des contenus et de quelle manière ils peuvent être davantage respectueux de la liberté de parole aux Etats-Unis et ailleurs".
Twitter s'est abstenu de tout commentaire. Facebook a confirmé l'audition mais sans plus. Alphabet n'a pas réagi dans l'immédiat.
Les trois sociétés avaient décliné l'invitation du Congrès en avril.
Républicains et démocrates s'entendent sur le fait que ces réseaux doivent bannir tout contenu lié à des délits, au piratage aux trafics sexuels mais ils divergent sur d'autres contenus sujets à caution.
"Même si ces entreprises ont peut-être des raisons légales, économiques et idéologiques de gérer leurs contenus comme un média traditionnel, nous devons néanmoins en tant qu'Etat déterminer si les normes qu'elles appliquent mettent en péril notre société libre et ouverte et notre culture de liberté d'expression", a expliqué Goodlatte.
Les parlementaires républicains reprochent à ces réseaux des pratiques ayant des motivations politiques lorsqu'ils retirent certains contenus, en particulier républicains, ce dont ils se défendent.
Bob Goodlatte, le président de la commission parlementaire, a dit qu'il se félicitait que ces réseaux dépêchent des experts "pour répondre à des questions sur leurs pratiques de modération des contenus et de quelle manière ils peuvent être davantage respectueux de la liberté de parole aux Etats-Unis et ailleurs".
Twitter s'est abstenu de tout commentaire. Facebook a confirmé l'audition mais sans plus. Alphabet n'a pas réagi dans l'immédiat.
Les trois sociétés avaient décliné l'invitation du Congrès en avril.
Républicains et démocrates s'entendent sur le fait que ces réseaux doivent bannir tout contenu lié à des délits, au piratage aux trafics sexuels mais ils divergent sur d'autres contenus sujets à caution.
"Même si ces entreprises ont peut-être des raisons légales, économiques et idéologiques de gérer leurs contenus comme un média traditionnel, nous devons néanmoins en tant qu'Etat déterminer si les normes qu'elles appliquent mettent en péril notre société libre et ouverte et notre culture de liberté d'expression", a expliqué Goodlatte.