Ce niveau est préoccupant comme "la persistance de campagnes de désinformation" à l'encontre de la mission onusienne Minusca, précise Antonio Guterres dans ce document obtenu par l'AFP et qui porte sur une période allant de juin à octobre. Quand il évoque du "personnel de sécurité" présent en Centrafrique en vertu d'un accord bilatéral, le secrétaire général fait allusion, même s'il ne les identifie pas, notamment à des membres du groupe de sécurité russe Wagner.
Au début de l'été, des agissements de ce groupe contre des Casques bleus avaient déjà été vivement dénoncés par l'ONU. "De telles actions empêchent l'accomplissement du mandat, mettent en danger les vies des Casques bleus et sont en contradiction avec des engagements du président (Faustin Archange) Touadéra et du gouvernement" à leur arrêt, affirme le chef de l'ONU, en réclamant aux autorités centrafricaines "des mesures concrètes" pour y mettre un terme.
Sans autre détail, Antonio Guterres évoque dans son rapport "de graves violations", comme "l'entrave à la liberté de mouvement des patrouilles de la Minusca, l'arrestation ou la détention de (ses) membres", des "menaces" et des "tentatives de fouille de véhicules et de résidences du personnel des Nations Unies". (AFP)
Au début de l'été, des agissements de ce groupe contre des Casques bleus avaient déjà été vivement dénoncés par l'ONU. "De telles actions empêchent l'accomplissement du mandat, mettent en danger les vies des Casques bleus et sont en contradiction avec des engagements du président (Faustin Archange) Touadéra et du gouvernement" à leur arrêt, affirme le chef de l'ONU, en réclamant aux autorités centrafricaines "des mesures concrètes" pour y mettre un terme.
Sans autre détail, Antonio Guterres évoque dans son rapport "de graves violations", comme "l'entrave à la liberté de mouvement des patrouilles de la Minusca, l'arrestation ou la détention de (ses) membres", des "menaces" et des "tentatives de fouille de véhicules et de résidences du personnel des Nations Unies". (AFP)