Le président comorien Azali Assoumani a appelé l'opposition à participer aux élections législatives prévues début 2020 et qu'elle menace de boycotter à moins que ses exigences, notamment de transparence du scrutin, soient remplies.
"Mon souhait le plus ardent est qu'ils (l'opposition) viennent participer à ces élections car nous avons beaucoup à faire" sur le plan législatif, a déclaré le président Azali dans une interview diffusée mercredi soir sur la chaîne de télévision France 24. "Ils ont boycotté le référendum (en juillet 2018), ils sont venus aux élections présidentielles (en mars 2019), ce que j'ai beaucoup apprécié, je les en remercie", a-t-il ajouté.
Le référendum constitutionnel a renforcé les pouvoirs du président Assoumani, notamment en l'autorisant à accomplir deux mandats successifs au lieu d'un. Quelques mois plus tard, le chef de l'Etat sortant a été réélu à la tête du pays, lors d'un scrutin entaché, selon l'opposition et des observateurs internationaux, de fraudes.
"Mon souhait le plus ardent est qu'ils (l'opposition) viennent participer à ces élections car nous avons beaucoup à faire" sur le plan législatif, a déclaré le président Azali dans une interview diffusée mercredi soir sur la chaîne de télévision France 24. "Ils ont boycotté le référendum (en juillet 2018), ils sont venus aux élections présidentielles (en mars 2019), ce que j'ai beaucoup apprécié, je les en remercie", a-t-il ajouté.
Le référendum constitutionnel a renforcé les pouvoirs du président Assoumani, notamment en l'autorisant à accomplir deux mandats successifs au lieu d'un. Quelques mois plus tard, le chef de l'Etat sortant a été réélu à la tête du pays, lors d'un scrutin entaché, selon l'opposition et des observateurs internationaux, de fraudes.