SEOUL (Reuters) - Un hélicoptère Airbus appartenant aux services d'incendie sud-coréens s'est abîmé en mer jeudi soir non loin des rochers Liancourt et les sept occupants de l'appareil n'ont à ce stade donné aucun signe de vie, ont rapporté les autorités.
L'Airbus H225 Super Puma, qui assurait le transport d'un marin blessé vers un hôpital, s'est écrasé peu après avoir décollé des rochers Liancourt, un groupe d'îlots revendiqué par la Corée du Sud, qui les appelle Dokdo, comme par le Japon, qui les désigne par le nom Takeshima.
Le ministère de la Défense a dit vendredi avoir envoyé des navires et des avions pour trouver des traces des occupants de l'hélicoptère, sans succès pour l'instant.
L'agence de presse Yonhap rapporte qu'une pièce présumée de l'hélicoptère a été retrouvée.
L'appareil, entré en service en 2016, était piloté par deux pilotes expérimentés, poursuit Yonhap. A bord se trouvaient également trois pompiers, le patient et une autre personne.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a ordonné une vérification de tous les hélicoptères H225, dont un modèle s'était écrasé au large de la Norvège en 2016, tuant 13 personnes travaillant sur une plate-forme pétrolière en mer du Nord.
Cet accident avait entraîné l'immobilisation de la plupart de ces appareils à travers le monde et Airbus avait par la suite apporté des modifications à la conception des boîtes de vitesses.
A ce stade, aucune cause de l'accident survenu en Corée du Sud n'est connue. Le H225, autrefois connu sous le nom d'Eurocopter EC-225, est un appareil de sauvetage de longue portée, capable de voler dans n'importe quelles conditions météorologiques.
Le 31 août, un exemplaire d'un autre modèle d'hélicoptère Airbus, l'AS350, s'est écrasé dans le nord de la Norvège, tuant cinq Norvégiens et leur pilote suédois, ce qui a conduit l'Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) a demander des inspections sur certains hélicoptères récemment livrés par le constructeur européen.
L'Airbus H225 Super Puma, qui assurait le transport d'un marin blessé vers un hôpital, s'est écrasé peu après avoir décollé des rochers Liancourt, un groupe d'îlots revendiqué par la Corée du Sud, qui les appelle Dokdo, comme par le Japon, qui les désigne par le nom Takeshima.
Le ministère de la Défense a dit vendredi avoir envoyé des navires et des avions pour trouver des traces des occupants de l'hélicoptère, sans succès pour l'instant.
L'agence de presse Yonhap rapporte qu'une pièce présumée de l'hélicoptère a été retrouvée.
L'appareil, entré en service en 2016, était piloté par deux pilotes expérimentés, poursuit Yonhap. A bord se trouvaient également trois pompiers, le patient et une autre personne.
Le président sud-coréen Moon Jae-in a ordonné une vérification de tous les hélicoptères H225, dont un modèle s'était écrasé au large de la Norvège en 2016, tuant 13 personnes travaillant sur une plate-forme pétrolière en mer du Nord.
Cet accident avait entraîné l'immobilisation de la plupart de ces appareils à travers le monde et Airbus avait par la suite apporté des modifications à la conception des boîtes de vitesses.
A ce stade, aucune cause de l'accident survenu en Corée du Sud n'est connue. Le H225, autrefois connu sous le nom d'Eurocopter EC-225, est un appareil de sauvetage de longue portée, capable de voler dans n'importe quelles conditions météorologiques.
Le 31 août, un exemplaire d'un autre modèle d'hélicoptère Airbus, l'AS350, s'est écrasé dans le nord de la Norvège, tuant cinq Norvégiens et leur pilote suédois, ce qui a conduit l'Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) a demander des inspections sur certains hélicoptères récemment livrés par le constructeur européen.
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