L’Italie a accepté le retour sur son territoire d’une centaine de saisonniers ukrainiens, refoulés à la frontière slovène, afin de leur permettre de prendre un vol en direction de Kiev.
Selon la télévision slovène et une passagère jointe par l’AFP, ces voyageurs qui ont dormi deux nuits dans deux cars vont être accueillis dans un hôtel à Padoue, en Vénétie, avant de pouvoir grimper dans un avion annoncé pour dimanche.
« Je suis fatiguée comme tous les passagers », témoigne auprès de l’AFP grâce à Facebook Ioulia Voural, l’une des 101 personnes concernées.
Les cars en provenance de Salerne, en Campanie, ont traversé sans encombre la frontière côté italien.
Mais la Slovénie, qui se barricade pour tenter de ralentir la propagation du nouveau coronavirus, a obligé leurs chauffeurs à éteindre le moteur entre les deux postes frontière.
Selon une source policière slovène locale interrogée par l’AFP, la Slovénie, qui recensait samedi 181 cas confirmés de coronavirus, craignait que la Croatie et la Hongrie ne laissent pas passer ces bus et a donc préféré les immobiliser en attendant de trouver une solution. De l’eau et de la nourriture ont été mises à la disposition des passagers.
L’Autriche et la Slovénie ont rétabli mercredi des contrôles à leurs frontières avec l’Italie et les voyageurs doivent désormais prouver qu’ils ne sont pas atteints par le Covid-19. Ce rétablissement de filtrages au sein de l’espace Schengen a provoqué en réaction des mesures similaires dans les pays voisins, par un effet de domino.
Des tests de température ont été effectués sur les passagers ukrainiens selon ces derniers et aucun d’entre eux n’a développé les symptômes du nouveau coronavirus, même s’ils ne disposent pas d’un certificat médical.
Vendredi, une porte parole de la présidence ukrainienne a déclaré devant des journalistes que Kiev prendrait « toutes les mesures possibles » pour évacuer ce groupe.
Un quart de la population de l’Italie a été placée en quarantaine dans le nord du pays le 8 mars, ce qui a provoqué le départ massif les jours suivants de ressortissants étrangers.
Selon la télévision slovène et une passagère jointe par l’AFP, ces voyageurs qui ont dormi deux nuits dans deux cars vont être accueillis dans un hôtel à Padoue, en Vénétie, avant de pouvoir grimper dans un avion annoncé pour dimanche.
« Je suis fatiguée comme tous les passagers », témoigne auprès de l’AFP grâce à Facebook Ioulia Voural, l’une des 101 personnes concernées.
Les cars en provenance de Salerne, en Campanie, ont traversé sans encombre la frontière côté italien.
Mais la Slovénie, qui se barricade pour tenter de ralentir la propagation du nouveau coronavirus, a obligé leurs chauffeurs à éteindre le moteur entre les deux postes frontière.
Selon une source policière slovène locale interrogée par l’AFP, la Slovénie, qui recensait samedi 181 cas confirmés de coronavirus, craignait que la Croatie et la Hongrie ne laissent pas passer ces bus et a donc préféré les immobiliser en attendant de trouver une solution. De l’eau et de la nourriture ont été mises à la disposition des passagers.
L’Autriche et la Slovénie ont rétabli mercredi des contrôles à leurs frontières avec l’Italie et les voyageurs doivent désormais prouver qu’ils ne sont pas atteints par le Covid-19. Ce rétablissement de filtrages au sein de l’espace Schengen a provoqué en réaction des mesures similaires dans les pays voisins, par un effet de domino.
Des tests de température ont été effectués sur les passagers ukrainiens selon ces derniers et aucun d’entre eux n’a développé les symptômes du nouveau coronavirus, même s’ils ne disposent pas d’un certificat médical.
Vendredi, une porte parole de la présidence ukrainienne a déclaré devant des journalistes que Kiev prendrait « toutes les mesures possibles » pour évacuer ce groupe.
Un quart de la population de l’Italie a été placée en quarantaine dans le nord du pays le 8 mars, ce qui a provoqué le départ massif les jours suivants de ressortissants étrangers.
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