« Je réfléchis très sérieusement à pouvoir être en capacité d’agir sur l’amélioration de la vie des Françaises et des Français », a déclaré l’ancienne garde des Sceaux, après avoir visité une ferme d’agriculture biologique sur la commune de Saverdun.
« Je veux agir en termes de politique publique, et je sais ce que ça veut dire, j’ai déjà exercé le pouvoir », a ajouté Mme Taubira, qui a été ministre de la Justice de 2012 à 2016.
Elle a indiqué qu’elle dévoilerait sa décision « le 15 janvier au plus tard », soit moins de deux semaines avant la Primaire populaire, initiative citoyenne prévue du 27 au 30 janvier.
Christiane Taubira a par ailleurs vivement réagi aux propos du président Emmanuel Macron, qui s’est dit prêt à « emmerder » les non-vaccinés, ainsi qu’à ceux de la candidate des Républicains, Valérie Pécresse, qui a dit jeudi vouloir « ressortir le Kärcher ».
« Ce sont des déclarations de fragmentation. Il y a un projet politique derrière ça : c’est la fragmentation, la fracture, la division systématique, et en fin de compte la dislocation de la société, et nous allons tous y perdre », s’est-elle indignée.
« Le président avait jusque là essayé d’éviter la vulgarité. Là, il a fait une déclaration qui est quand même très préoccupante », a dénoncé l’ancienne garde des Sceaux sous François Hollande.
Elle a souligné « l’obligation permanente de dignité et de responsabilité » des responsables politiques. (AFP)
« Je veux agir en termes de politique publique, et je sais ce que ça veut dire, j’ai déjà exercé le pouvoir », a ajouté Mme Taubira, qui a été ministre de la Justice de 2012 à 2016.
Elle a indiqué qu’elle dévoilerait sa décision « le 15 janvier au plus tard », soit moins de deux semaines avant la Primaire populaire, initiative citoyenne prévue du 27 au 30 janvier.
Christiane Taubira a par ailleurs vivement réagi aux propos du président Emmanuel Macron, qui s’est dit prêt à « emmerder » les non-vaccinés, ainsi qu’à ceux de la candidate des Républicains, Valérie Pécresse, qui a dit jeudi vouloir « ressortir le Kärcher ».
« Ce sont des déclarations de fragmentation. Il y a un projet politique derrière ça : c’est la fragmentation, la fracture, la division systématique, et en fin de compte la dislocation de la société, et nous allons tous y perdre », s’est-elle indignée.
« Le président avait jusque là essayé d’éviter la vulgarité. Là, il a fait une déclaration qui est quand même très préoccupante », a dénoncé l’ancienne garde des Sceaux sous François Hollande.
Elle a souligné « l’obligation permanente de dignité et de responsabilité » des responsables politiques. (AFP)