En déplacement dans le Nord au lendemain du premier tour de la présidentielle, le chef de l'Etat est revenu sur sa phrase polémique du mois de janvier.
"Les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder". En janvier dernier, Emmanuel Macron défendait dans les colonnes du Parisien le projet de loi instaurant un pass vaccinal pour lutter contre le Covid-19, en expliquant vouloir mettre une pression supplémentaire sur les non-vaccinés.
Une formule qui avait fait polémique et sur laquelle le chef de l'Etat est revenu lundi 11 avril.
"Je n’ai jamais dit que les non vaccinés étaient des sous-citoyens", a-t-il assuré lors d'un déplacement à Denain (Nord) au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle. Le président-candidat répondait à une habitante qui l'interpellait sur la gestion de la crise du Covid-19.
"Emmerder les non-vaccinés, ça vous l'avez dit", lui a alors répondu cette femme. "Oui, mais je l'ai dit de manière entre guillemets affectueuse", a-t-il expliqué, regrettant que son interlocutrice le prenne comme une "insulte".
"Quand quelqu'un me dit 'je t'emmerde', excusez-moi, je ne prends pas ça gentiment", a-t-elle insisté. "Non, ça c'est une insulte mais ce n'est pas ce que j'ai dit. Il faut le remettre en contexte", a rétorqué Emmanuel Macron.
"Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l'accès aux activités de la vie sociale. La quasi-totalité des gens, plus de 90 %, y ont adhéré", expliquait en janvier dernier le président. "C'est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l'emmerdant encore davantage", assurait-il. "Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. Je peste toute la journée contre l'administration quand elle les bloque. Eh bien là, les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu'au bout. C'est ça, la stratégie", assumait-il.
"Les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder". En janvier dernier, Emmanuel Macron défendait dans les colonnes du Parisien le projet de loi instaurant un pass vaccinal pour lutter contre le Covid-19, en expliquant vouloir mettre une pression supplémentaire sur les non-vaccinés.
Une formule qui avait fait polémique et sur laquelle le chef de l'Etat est revenu lundi 11 avril.
"Je n’ai jamais dit que les non vaccinés étaient des sous-citoyens", a-t-il assuré lors d'un déplacement à Denain (Nord) au lendemain du premier tour de l'élection présidentielle. Le président-candidat répondait à une habitante qui l'interpellait sur la gestion de la crise du Covid-19.
"Emmerder les non-vaccinés, ça vous l'avez dit", lui a alors répondu cette femme. "Oui, mais je l'ai dit de manière entre guillemets affectueuse", a-t-il expliqué, regrettant que son interlocutrice le prenne comme une "insulte".
"Quand quelqu'un me dit 'je t'emmerde', excusez-moi, je ne prends pas ça gentiment", a-t-elle insisté. "Non, ça c'est une insulte mais ce n'est pas ce que j'ai dit. Il faut le remettre en contexte", a rétorqué Emmanuel Macron.
"Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l'accès aux activités de la vie sociale. La quasi-totalité des gens, plus de 90 %, y ont adhéré", expliquait en janvier dernier le président. "C'est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l'emmerdant encore davantage", assurait-il. "Moi, je ne suis pas pour emmerder les Français. Je peste toute la journée contre l'administration quand elle les bloque. Eh bien là, les non-vaccinés, j'ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu'au bout. C'est ça, la stratégie", assumait-il.