New York - Après avoir été brièvement détrônée par Microsoft en cours de séance à Wall Street, Apple a réussi à conserver lundi à la clôture son fauteuil d'entreprise privée la plus chère du monde, mais la pression s'accroît autour d'elle.
À la fermeture de la Bourse de New York, la valeur boursière d'Apple était de 828,6 milliards de dollars contre 817,3 milliards de dollars pour Microsoft. Grâce à une forte hausse du cours de l'action lundi (+3,30% à la clôture), l'entreprise fondée par Bill Gates a brièvement pris l'ascendant sur la marque à la pomme en cours de séance, pour la première fois depuis huit ans, devenant par la même occasion l'entreprise privée à la capitalisation boursière la plus élevée au monde.
La joie a été de courte durée, Apple repassant rapidement devant son concurrent, à la faveur d'une hausse du cours de son action (+1,35% à la clôture).
Or la pression s'accroît autour du fabricant du Macintosh, de l'iPhone, du MacBook et de l'iPad.
Après avoir vu sa valeur boursière dépasser le cap inédit des 1.000 milliards de dollars en août, Apple a perdu plus de 25% de sa richesse en raison d'inquiétudes persistantes sur le ralentissement des ventes de son iPhone, le produit phare du groupe dirigé par Tim Cook.
Le groupe de Satya Nadella, qui évoluait encore à la quatrième place du classement mondial des entreprises à la plus forte capitalisation boursière derrière Amazon et Alphabet (maison mère de Google) lorsqu'Apple a franchi le cap des 1.000 milliards de dollars, a profité du récent plongeon de ses principaux concurrents en Bourse.
Microsoft a en effet été relativement épargné par les fortes bourrasques touchant depuis octobre l'ensemble du secteur de la technologie en raison notamment de résultats financiers et de prévisions de fin d'année bien orientés. Le groupe se distingue notamment par son recentrage réussi vers l'informatique dématérialisée ou "cloud".
Cet avantage lui a permis de ne perdre que 8% depuis son plus haut historique du 1er octobre, là où ses concurrents ont affiché des plongeons à deux chiffres.
À la fermeture de la Bourse de New York, la valeur boursière d'Apple était de 828,6 milliards de dollars contre 817,3 milliards de dollars pour Microsoft.
La joie a été de courte durée, Apple repassant rapidement devant son concurrent, à la faveur d'une hausse du cours de son action (+1,35% à la clôture).
Or la pression s'accroît autour du fabricant du Macintosh, de l'iPhone, du MacBook et de l'iPad.
Après avoir vu sa valeur boursière dépasser le cap inédit des 1.000 milliards de dollars en août, Apple a perdu plus de 25% de sa richesse en raison d'inquiétudes persistantes sur le ralentissement des ventes de son iPhone, le produit phare du groupe dirigé par Tim Cook.
Le groupe de Satya Nadella, qui évoluait encore à la quatrième place du classement mondial des entreprises à la plus forte capitalisation boursière derrière Amazon et Alphabet (maison mère de Google) lorsqu'Apple a franchi le cap des 1.000 milliards de dollars, a profité du récent plongeon de ses principaux concurrents en Bourse.
Microsoft a en effet été relativement épargné par les fortes bourrasques touchant depuis octobre l'ensemble du secteur de la technologie en raison notamment de résultats financiers et de prévisions de fin d'année bien orientés. Le groupe se distingue notamment par son recentrage réussi vers l'informatique dématérialisée ou "cloud".
Cet avantage lui a permis de ne perdre que 8% depuis son plus haut historique du 1er octobre, là où ses concurrents ont affiché des plongeons à deux chiffres.