PARIS (Reuters) - François Fillon a confirmé mercredi son intention d'être candidat à l'élection présidentielle en France et s'est dit prêt à se battre "jusqu'au bout" malgré la tourmente liée aux révélations sur les emplois présumés fictifs de son épouse.
Si des voix discordantes ont commencé à se faire entendre mercredi dans la solidarité affichée jusqu'alors par les élus du parti Les Républicains avec leur candidat, le comité exécutif du parti lui a réaffirmé son soutien dans la soirée.
"J'ai choisi d'être candidat à l'élection présidentielle. Et quand on choisit d'être candidat à l'élection présidentielle, on ne vient pas se plaindre ensuite de la violence des attaques. On les accepte comme malheureusement des scories de notre système démocratique et on les affronte", a déclaré dans l'après-midi le candidat de la droite au Salon des entrepreneurs, à Paris.
"Je vais les affronter jusqu'au bout. Je serai candidat à cette élection présidentielle parce que je porte un message politique qui, à mon sens, est le seul qui peut permettre le redressement national", a-t-il ajouté.
Face aux doutes qui commencent à s'exprimer publiquement dans les rangs de LR au fil des rebondissements du "Penelopegate", les dirigeants du parti ont rappelé dans la soirée leur solidarité à l'égard du "seul candidat à pouvoir battre la gauche et l'extrême droite".
Les membres du comité politique "ont réaffirmé à l'unanimité leur soutien plein et entier à François Fillon", a déclaré à la presse Gérard Larcher, président de cette instance, à l'issue d'une réunion au siège du parti à Paris.
Dans une courte déclaration, le président du Sénat, proche de François Fillon, a décliné l'argument du "coup d'Etat institutionnel" avancé par son candidat.
"Nos adversaires veulent faire oublier leur bilan calamiteux en tentant de confisquer la campagne et de priver les Français du débat d'idées", a-t-il indiqué.
Il a également lancé un rappel à l'ordre à peine déguisé aux élus tentés de faire entendre un discours dissident.
"Il n'y a pas de candidature alternative, les choses sont claires", a-t-il dit précisant que "l'heure est au rassemblement de tous et à la mobilisation".
"Le comité politique demande aux élus, aux cadres et aux militants du mouvement d'amplifier la campagne", a-t-il ajouté.
Si des voix discordantes ont commencé à se faire entendre mercredi dans la solidarité affichée jusqu'alors par les élus du parti Les Républicains avec leur candidat, le comité exécutif du parti lui a réaffirmé son soutien dans la soirée.
"J'ai choisi d'être candidat à l'élection présidentielle. Et quand on choisit d'être candidat à l'élection présidentielle, on ne vient pas se plaindre ensuite de la violence des attaques. On les accepte comme malheureusement des scories de notre système démocratique et on les affronte", a déclaré dans l'après-midi le candidat de la droite au Salon des entrepreneurs, à Paris.
"Je vais les affronter jusqu'au bout. Je serai candidat à cette élection présidentielle parce que je porte un message politique qui, à mon sens, est le seul qui peut permettre le redressement national", a-t-il ajouté.
Face aux doutes qui commencent à s'exprimer publiquement dans les rangs de LR au fil des rebondissements du "Penelopegate", les dirigeants du parti ont rappelé dans la soirée leur solidarité à l'égard du "seul candidat à pouvoir battre la gauche et l'extrême droite".
Les membres du comité politique "ont réaffirmé à l'unanimité leur soutien plein et entier à François Fillon", a déclaré à la presse Gérard Larcher, président de cette instance, à l'issue d'une réunion au siège du parti à Paris.
Dans une courte déclaration, le président du Sénat, proche de François Fillon, a décliné l'argument du "coup d'Etat institutionnel" avancé par son candidat.
"Nos adversaires veulent faire oublier leur bilan calamiteux en tentant de confisquer la campagne et de priver les Français du débat d'idées", a-t-il indiqué.
Il a également lancé un rappel à l'ordre à peine déguisé aux élus tentés de faire entendre un discours dissident.
"Il n'y a pas de candidature alternative, les choses sont claires", a-t-il dit précisant que "l'heure est au rassemblement de tous et à la mobilisation".
"Le comité politique demande aux élus, aux cadres et aux militants du mouvement d'amplifier la campagne", a-t-il ajouté.